Pour cesser de miser sur la destination et apprécier l’aventure! [Épisode 50]

 

La destination fait partie intégrante de l’aventure, dans sa globalité. Celle-ci débute dès qu’on débute le premier pas…

 

Trop souvent, on se laisse emporter par l’objectif à atteindre et on perd de vue tout le plaisir et les leçons qui se trouvent sur le chemin pour s’y rendre. Idem pour les voyages : si on place le bonheur du voyage simplement dans la destination (les lieux à visiter ou l’arrivée sur place), on se prive de moments exceptionnels en chemin. La technique des Roussel-Cordeau pour voyager dans le bonheur : le voyage commence dès la planification. Et appliquer cette technique à notre quotidien professionnel peut transformer la façon dont on vit nos projets.

 

Alors, comment ça fonctionne? L’aventure commence au moment où on décide de partir. La recherche de la destination peut se présenter sous différentes formes. Louer des livres à la bibliothèque sur des destinations intéressantes (cela fait partie des hobbies de Claudine!). Comparer des parcours possibles. Lire divers blogs sur différents sujets du genre: 10 choses insolites à faire à [Destination]. Partager avec des collègues/amis ayant déjà visité l’endroit. Connecter avec des professionnels du même domaine à destination (question de tisser des liens outremer!). Toutes ces étapes s’intègrent à la préparation du voyage et viennent nourrir celui-ci (on voyage déjà!).

 

Et comment on transpose le tout professionnellement?

 

On sait d’abord qu’à viser le résultat (la destination), on oublie d’avoir du plaisir et même d’être conscients du moment qui passe. On se concentre sur le livrable, sur notre conception de ce qu’il doit être (et même de comment s’y prendre pour y arriver) et on oublie de profiter du processus. Par exemple, prenons le rapport annuel. La confection de ce document crucial pour plusieurs organisations impliquent normalement un rush immense où les échéances sont courtes. C’est la mobilisation de toute l’équipe qui doit tout déplacer pour produire un document durant 3 semaines avec photos, témoignages, statistiques, etc.

 

En appliquant la vision de l’aventure, au lieu de la destination, on pourrait transformer ce chaos dès le lendemain du dépôt du rapport de l’année précédente :

  • Dresser la liste de tous les éléments à obtenir
  • Cueillir chaque élément au moment où il est généré/créé
  • Faire mensuellement une demi-journée de travail sur le document
  • Programmer des courriels automatiques de rappel de production quelques semaines/mois avant le dépôt
  • Effectuer des suivis avec les graphistes dans Airtable (lien affilié)
  • Accumuler des photos des événements à la fin de chaque mois et les déposer dans un dossier partagé.

 

Hmmmm, sens-tu la zénitude? 🧘🙏

 

Pourquoi manquer tout le plaisir de la planification en se concentrant uniquement sur la destination? On élimine volontairement une IMMENSE partie du plaisir!

 

Et n’oublions pas que ce voyage (ou ce projet), c’est une œuvre collective, faite par une équipe responsable de son propre bonheur et de ses livrables. Comme coordination ou direction, ce sera de toute façon beaucoup moins épuisant que d’être responsable de tous les morceaux!

 

Alors, on te lance une invitation! Une invitation à appliquer le concept dans la préparation de ton prochain voyage : co-créer l’aventure avec ton équipe ou ta famille, connecter et partager dans la préparation et dans la planification et découvrir les opportunités qui se trouvent sur la route. Et rappelons-nous, co-créer, c’est aussi accepter les idées bizarres ou qui n’auraient pas été ton premier choix. 😉 Parce qu’au fond, on le sait…

 

“Seul on va plus vite, mais ensemble on va plus loin.”👪

 

Psst.. Ça te parle la coopération, travailler avec l’autre? Dans l’épisode 39:  La coopération, ton arme secrète pour l’année qui vient, on parle coopération selon la définition du magnifique livre Soul Stories de Gary Zukav.

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Marylène RoyPour cesser de miser sur la destination et apprécier l’aventure! [Épisode 50]

As-tu vraiment un mandat clair? 6 questions pour le savoir [Épisode 46]

Si tu te demandes comment savoir si tu as un mandat clair, on a 6 questions pour t’aider!

Le mandat dont on parle ici, c’est le mandat-mission-vision qui est l’un des 4 piliers d’une planification d’événements performante avec l’échéancier, le budget et l’organigramme. Les 6 questions (tu les reconnaîtras, on y revient souvent) sont celles de tout bon journaliste : quoi, quand, où, qui, comment, pourquoi?

 

Il faut dire que le but de se poser ces questions n’est pas tant d’y répondre avec le mandat que tu as en main. Il n’est pas nécessaire que ces informations soient disponibles. C’est surtout de savoir qui a l’autorité de décider des réponses s’il y a lieu et/ou de les modifier au besoin. En fin de compte, c’est le tour d’horizon qui permet de comprendre où sont les frontières entre le client/comité/donneur d’ouvrage et l’équipe de planification/réalisation du projet ou de l’événement.

 

Les 6 questions

 

Quoi?

Quel est le projet/événement? Quel est le livrable? Tient-on absolument à un concept précis (ex. soirée bénéfice)? Ou avons-nous une certaine latitude (ex. “activité” bénéfice, qui peut alors devenir une course, une chasse au trésor, etc.)? Que veut-on atteindre et quand saurons-nous que nous sommes rendus?

 

Où?

Y a-t-il un lieu déjà déterminé pour ce livrable? Ce lieu est-il précis (une salle déjà réservée, un serveur d’hébergement (pour un projet numérique), doit-il y avoir des éléments hybrides (virtuel et en présence)?

 

Quand?

 

Y a-t-il un moment déterminé pour ce livrable? S’agit-il d’une échéance fixe ou avons-nous une certaine marge de manœuvre? Avons-nous de la liberté sur le moment de la journée, la durée exacte?

 

Comment?

 

Y a-t-il des contraintes ici : nous impose-t-on des rencontres, une structure de suivi? Si le projet/événement a déjà eu lieu, un cahier de charges existe-t-il?

 

Qui?

 

Y a-t-il des contraintes ici : des membres d’un comité sont-ils imposés sur l’équipe de réalisation? Avons-nous l’obligation de faire affaire avec un fournisseur particulier?

 

À travers toutes ces questions, on cherche les variables et les constantes. On cherche à dresser une carte géographique du terrain de jeu qui nous est donné. On veut savoir quels sont les éléments imposés et où est notre zone de créativité. Et on veut, à tout prix, éviter d’avancer pour devoir reculer par la suite en apprenant un élément qui aurait pu nous être communiqué au départ.

 

Il en manque une… qui est très importante!

 

Grâce à elle, tu pourras répondre à la portion mission-vision de notre mandat-mission-vision.

 

Pourquoi?

 

Que veut-on créer? Quelle émotion doivent vivre les personnes qui y prendront part? Pourquoi est-ce notre organisation qui propose ce projet/événement et en quoi celui-ci sert-il la mission de l’organisation? La meilleure représentation de ces réponses sera sous forme de mots-clés (liste, post-its, images, nuage de mots) qui présenteront des émotions, des couleurs, des idées, des verbes d’actions qui puissent inspirer les gens qui travaillent sur le projet.

 

Voici une suggestion d’exercice pour la détermination du pourquoi (surtout pour aller chercher les mots-clés auprès des décideurs)

 

Tout d’abord, mettre l’équipe (décideurs, comité, équipe de réalisation, etc.) autour d’une table et lancer une visualisation de la fin de l’événement/projet. Par la suite, on guide en quelques phrases les participants avec les yeux fermés dans ce moment post-projet/événement dont le succès a été retentissant.

 

  • Est-ce que toutes les attentes ont été surpassées? Broder quelques phrases autour de ce succès pour que les gens le voient, le ressentent.
  • Qu’entend-on dans les conversations?
  • Qu’ont vécu les gens qui ont participé?
  • Quelles ont été leurs transformations?
  • Avec quelles émotions repartent-ils de cette expérience?

 

Donc, au lieu de faire une lecture théorique des 6 questions, on t’invite à revisiter un événement/projet que tu as déjà réalisé. Par la suite, de voir où ont été les points de friction et en quoi ceux-ci pouvaient être reliés à l’une des questions. D’ailleurs, les zones grises, les éléments importants non-identifiés au départ, les contraintes mal identifiées sont autant d’obstacles sur le chemin qui mène au succès d’un projet et qui peuvent être évités si on les aborde d’emblée. Alors, on t’invite surtout à utiliser les 6 question au moment d’aborder ton prochain événement/projet afin de t’assurer de partir avec des conditions gagnantes!

 

Pour nous faire part des tes commentaires/suggestions d’épisodes, tu peux nous écrire ici. Et si tu as aimé cet épisode, svp donne-lui 5 étoiles dans ton appli d’écoute et donne ton avis (ça nous aidera à aider plus de monde en les rejoignant!)

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Marylène RoyAs-tu vraiment un mandat clair? 6 questions pour le savoir [Épisode 46]

Les 8 attributs essentiels d’un échéancier performant [Épisode 42]

 

Finir la journée avec le petit goût amer d’avoir fait mille et un trucs et pourtant de n’avoir rien accompli, ça te parle? Être « en réaction », à la merci des courriels, des demandes, des événements extérieurs, c’est la recette infaillible pour se sentir dépassée, incompétente et anxieuse. On a trouvé notre baume, qui est devenu l’un des 4 piliers de la gestion d’événements selon le modèle Que Des Solutions : l’échéancier. Et on n’oublie surtout pas les caractéristiques qui le définisse!

D’abord, un échéancier, c’est quoi : c’est un document (tableur ou base de données) où sont répertoriées par ligne les responsabilités/tâches qui doivent être réalisées par les membres d’une équipe et qui comprennent notamment des précisions par secteur d’activité et par échéance (mois) permettant de classer les tâches selon différents critères.

C’est à ce document que l’équipe se réfère pour savoir quels sont les dossiers sur lesquels les membres doivent travailler. L’échéancier ne contient pas TOUTES les tâches à faire, mais bien les responsabilités/tâches récurrentes qui seront, par la suite, transposées dans un gestionnaire de projet (ex. Asana) ou une bonne vieille liste “to-do” (à éviter selon nous, mais bon!).

 

Les caractéristiques essentielles

Pour qu’il soit réellement performant, l’échéancier doit avoir 8 caractéristiques essentielles. Les voici :

  • Simple (dans le sens de pas complexe, pas compliqué) : il ne faut pas que ce soit compliqué d’y accéder et d’y travailler.
  • Flexible : pas de pdf! On doit pouvoir le mettre à jour et l’ajuster quotidiennement. On doit également, nous-mêmes, être flexibles dans l’exécution des tâches/responsabilités et se permettre de retarder/décaler/devancer au besoin.
  • Avec des indices : prévoir une case pour noter des détails, indices, liens hypertextes, emplacement de fichiers, notes pour un remplaçant, parce qu’on ne sait jamais ce qui peut nous arriver (et qu’on a tendance à oublier d’une année à l’autre).
  • En équipe svp! : s’ils aident à créer l’échéancier et qu’ils y sont impliqués, les membres de l’équipe voudront utiliser l’échéancier au quotidien. Le fait de créer l’échéancier en équipe permet aussi de voir les dépendances entre les tâches des uns et des autres et à clarifier la répartition du travail.
  • Court, mais précis : trouver les mots les plus précis possibles, sans utiliser des grandes phrases et sans être flou.
  • À dupliquer : on travaille dans l’échéancier courant, mais on prévoit déjà les possibilités pour l’an prochain (soit une copie indépendante ou avec une colonne “pour l’an prochain”)
  • À jour : l’échéancier est un outil quotidien, c’est presqu’un membre de l’équipe. On doit le nourrir et en prendre soin (il nous le rendra bien!).
  • Dans le plaisir!!!!! : il faut que ce soit plaisant! Trouve du plaisir dans créer et tenir à jour ton outil, une fois qu’il sera en place, le plaisir est garanti puisque le doute et le stress de la to-do-list disparaissent!

Fais-nous signe pour nous dire comment ça résonne dans ta vie!

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Marylène RoyLes 8 attributs essentiels d’un échéancier performant [Épisode 42]

L’organigramme, un des éléments-clés de ton événement/projet [Épisode 40]

Avoue qu’il n’y a rien de pire que des dossiers qui tombent entre deux chaises parce que tout le monde était certain que quelqu’un d’autre devait le faire! Dans la gestion d’un projet ou d’un événement (qui est souvent, disons-le, en urgence-dernière-minute), ce genre d’inefficacité, ni toutes les répercussions qu’elle pourrait avoir, on ne peut pas se le permettre. L’organigramme est un des éléments-clés d’un événement ou d’un projet réussi, c’est un organigramme clair et complet.  On a choisi de te le présenter cette semaine car c’est un des 4 piliers de la gestion d’événements et de projets.

On a décidé d’approfondir le sujet afin d’explorer les avantages d’avoir cet outil, les différentes caractéristiques d’un bon organigramme, les deux organigrammes nécessaires pour une gestion efficace (planification et réalisation), l’importance d’ajouter une cellule d’intervention et gestion de crise. On propose aussi la création de cet outil dans Miro afin d’en faciliter la création/mise à jour.

Et bien sûr, on fait des détours et on donne des trucs de gestion/planification parce que tsé, on est comme ça! 🥰

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Marylène RoyL’organigramme, un des éléments-clés de ton événement/projet [Épisode 40]

Quelle donnée pourrait assurer ta prochaine petite victoire? [Épisode 34]

Dans cet épisode, on parle de données (le « data » dont on entend parler beaucoup), mais en des termes simples, qui te permettront de faire des premiers pas dans ce monde des KPI, des indicateurs et des tableaux de bords.

On y va (VRAIMENT) au plus simple. Et on te lance un défi!

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Marylène RoyQuelle donnée pourrait assurer ta prochaine petite victoire? [Épisode 34]

En espèces ou en nature – documenter la juste valeur de ses événements et projets [Épisode 33]

Cette semaine, on répond à une question qui nous a été posée par une gestionnaire d’événement : comment documenter la juste valeur de mon événement si j’ai des partenaires qui ont contribué sans mettre de l’argent sonnant dans le projet. La réponse : intégrer les « services commandités » dans son état des résultats.

Un état des revenus et des dépenses d’événement ou de projet qui ne présente que l’argent qui s’est transigé présente une demi-vérité. Tous les apports « en nature » des partenaires (prêt de locaux, prêt d’équipements, prêt de personnel, réduction de la facture/bonification des services, échanges de services, etc.) doivent faire partie de la présentation des finances afin de refléter la juste valeur du projet.

Pas pour gonfler les chiffres, mais bien pour démontrer le coût réel de ce projet si on devait payer pour chaque produit/service utilisé.

On fait le tour de la question dans cet épisode.

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Marylène RoyEn espèces ou en nature – documenter la juste valeur de ses événements et projets [Épisode 33]

Le défi des événements hybrides [Épisode 31]

La pandémie a résolument bousculé nos façons de faire. Et alors que le Québec retournera bientôt au bureau (le télétravail n’est plus « fortement suggéré » par le gouvernement à compter du 15 novembre), plusieurs des habitudes que l’on a prises dans les derniers mois resteront. Dont les événement hybrides…

Ces drôles de petites bêtes qui se sont immiscées dans notre quotidien sont là pour rester… oui oui!

À l’automne 2021, Destination Sherbrooke a organisé un webinaire pour parler de la relance des événements en personne, durant lequel des panelistes étaient invités à parler du défi des événements hybrides.

Et ils ont invité notre Claudine pour participer au panel! Et généreux comme ils sont, ils nous permettent de t’en partager l’audio!

On te partage donc l’extrait du webinaire « Sherbrooke, au coeur de la relance de vos événements », organisé par Destination Sherbrooke, plus précisément un panel de discussion portant sur le défi des événement hybrides avec Daniel Collins (Audiovisuel Collins) et notre Claudine Roussel.

Passe écouter l’épisode et fais-nous signe, par courriel ou sur les médias sociaux, pour nous partager tes impressions. Et si tu as des questions sur ces bibittes d’événements hybrides, partage-nous-les! On commence à les avoir apprivoisées! 😁

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Marylène RoyLe défi des événements hybrides [Épisode 31]

Les 4 piliers de la planification d’un événement (ou : tu ne le sais pas tant que tu ne le sais pas!) [Épisode 27]

Cette semaine, Claudine partage les 4 piliers de la planification d’un événement, qui sont devenus évidents dans une récente collaboration avec une organisation.

Sauf que, bien qu’évidents et pertinents, ces 4 piliers ne sont pas écrits dans le ciel et avant de les connaître… c’est normal de ne pas savoir ce qu’ils sont.

D’ailleurs, c’est toujours normal de débuter en tant que débutant, d’où le « Tu ne le sais pas tant que tu ne le sais pas! ».

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Marylène RoyLes 4 piliers de la planification d’un événement (ou : tu ne le sais pas tant que tu ne le sais pas!) [Épisode 27]

1 pandémie, 1 événement-hybride, 3 grandes leçons [Épisode 14]

Cette semaine, on explore les trois grandes leçons apprises par Marylène et Claudine à travers le Festival des harmonies 2021 et son édition hybride : 1. La fin de l’ère du copier-coller ou on ne traverse jamais deux fois la même rivière, 2. livrer un projet c’est accepter qu’il vive sans soi – la parabole de l’accouchement, 3. planifier pour être disponible (ou prévoir être « dispensable »).

À travers un retour sur le Festival des harmonies 2021 ayant eu lieu du 20 au 23 mai 2021, sa programmation hybride, l’annulation de l’édition 2020, un passage au numérique et la création d’une toute nouvelle plateforme et d’une nouvelle série de produits/services, les filles font l’inventaire des récoltes.

À travers des exemples concrets, des citations et des proverbes, c’est à cœur ouvert qu’elle partagent cette semaine ces trois grandes leçons qu’elle retiennent de ce premier événement non-entièrement-virtuel et « post-covid » qu’elles réalisent depuis mars 2020. La citation de la rivière est de Héraclite : une personne ne traverse jamais la même rivière deux fois, car ça n’est pas la même rivière et elle n’est pas la même personne.

Envie d’en savoir plus? Dépêche-toi de mettre tes écouteurs et écoute la suite!

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Marylène Roy1 pandémie, 1 événement-hybride, 3 grandes leçons [Épisode 14]

Changer les comportements, changer les événements – avec Ruud Janssen / Entrevue [Épisode 6]

Co-auteur du « Event design handbook » et co-créateur du « Event Canvas », Ruud Janssen nous partage sa vision des événements et pourquoi nous devons prendre le temps de les repenser. Dans un français dont il s’excuse (mais qui est, avouons-le, impeccable!), ce Hollandais-Suisse ayant grandi en France (de là sa francophonie) nous raconte son parcours, les raisons qui les ont poussés, lui et ses collègues, à créer le Event Canvas et l’avenir de cette méthode, notamment la sortie d’un nouveau livre en juin.

Dans une entrevue où l’on perçoit sa générosité et son amour des gens, Ruud partage avec Claudine sa passion pour des événements réussis, des événements qui transforment leurs participants.

Les nombreuses références à la musique viennent du fait que Ruud, Marylène et Claudine se sont connus dans le contexte du Festival des harmonies et d’une formation Event Design.

00:00 Origine de l’Event Design, à cause des événements médiocres

06:00 14 février 2014, création du Event Canvas

07:00 But d’un événement, la transformation (on pouvait se plaindre ou proposer un changement)

11:00 Se regrouper pour mettre notre modèle sur une feuille = la simplicité est la complexité résolue

14:30 Les chouchous (ses éléments préférés parmi les 14 éléments du Event Canvas)

19:00 Analyse d’un événement selon la partie prenante

23:30 1% du temps d’événements à investir en design

28:00 Créer une histoire ensemble (avec analogie culinaire)

30:00 Impact de la pandémie sur l’Event design, dextérité digitale et la chance du débutant

40:00 Les périls des événements virtuels (à voir Wonder.me)

Observations Live vs Online

48:00 Le pouvoir des événements (en ligne ou non) ou “suspendre l’incrédulité”

53:00 Noetic & ineffable, “il faut le vivre pour le croire”

61:00 Intention + humanité + résilience = magie

63:30 Nouveau livre à venir : Design to change

72:30 Event Design Handbook (premier livre), pour mettre l’humain au coeur de l’expérience

74:30 Faire confiance à l’équipe et au processus & exploser les concepts (pas un sport solitaire)

Liens en vrac :

Event Design

“Moscow Mule” (le cocktail signature du Event Design)

Appli Signal

Formations à venir

Pour commander le livre Event Design Handbook

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Marylène RoyChanger les comportements, changer les événements – avec Ruud Janssen / Entrevue [Épisode 6]

Des événements qui transforment les gens, Event Design handbook / Suggestion lecture [Épisode 5]

Dans cet épisode, on te partage notre livre chouchou : Event Design handbook. Un livre qui propose une méthode inspirée du design thinking pour déconstruire et reconstruire les événements en mettant l’humain au coeur de la démarche. Du bonbon!

Voici quelques liens abordés dans l’épisode :

Origines du design thinking

Les 5 phases du Design thinking  (en anglais)

Pour commander le livre Event Design Handbook

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Marylène RoyDes événements qui transforment les gens, Event Design handbook / Suggestion lecture [Épisode 5]

Et si personne ne venait à mon événement / Solution-minute [Épisode 1]

Solution-minute : on répond à une question ou un enjeux soulevé par vous à propos des événements ou des processus. « Et si personne ne venait à mon événement? » est une crainte répandue. On adresse la question et on offre notre solution.

WEB quedessolutions.com

FB quedessolutionslavraiepage

IG claudine.quedessolutions

Liens évoqués dans cet épisode :

Carte d’empathie / Empathy map, développée par Dave Grey XPLANE (Google image)

Jamboard (appli Google disponible gratuitement)

Mural.co (outil de collaboration payant)

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Marylène RoyEt si personne ne venait à mon événement / Solution-minute [Épisode 1]