La force du Plan B [Épisode 77]

Plan A, Plan B,…

 

Quand la vie tire le tapis sous nos pieds et que l’objectif qu’on visait part en fumée, on se dit qu’on aurait dû se prévoir une alternative. C’est exactement dans une telle situation qu’on a découvert tout le pouvoir d’être en mode “Plan B”. C’est ce qu’on aime appeler la force du plan B!

 

D’abord, lorsqu’on démarre un projet, on identifie le résultat précis que l’on vise, qui nous donne la direction à prendre (qui constituent ensemble le Plan A). Chaque geste ou action que l’on posera par la suite visera à atteindre ce résultat. On sait que dans un vol de 10 000 km, si le pilote de l’avion change sa trajectoire d’un simple petit degré, il pourra finir sur un tout autre continent que celui qu’il visait au départ. Et c’est le grand danger de n’avoir que le Plan A. Dès qu’un élément externe s’invite ou que quelque chose ne se passe pas comme prévu, on doit déployer une quantité immense d’énergie, d’efforts et de ressources pour ajuster notre course. Tout cela pour forcer le projet à revenir dans l’axe prévu au départ.

 

La solution?

 

Se permettre d’être en mode Plan B. Être en mode Plan B, c’est être à l’aise à ce qu’un résultat différent existe (point B) ou à ce que le chemin pour s’y rendre soit différent (trajet B). Identifier consciemment un scénario alternatif de succès permet :

  • De lâcher prise (incluant d’éliminer de la rigidité et de se libérer (de l’illusion) du contrôle).
  • D’adopter une posture d’ouverture aux opportunités, aux synchronicités.

 

C’est quoi un bon Plan B?

 

Le meilleur Plan B est celui qui est autant sinon plus intéressant que le scénario initial (Plan A). C’est celui qui nous fait dire que l’un ou l’autre des scénarios peut arriver. Et surtout, qu’on sera tout aussi heureux, serein, fier [insérer ici le qualificatif que tu veux 😉]. Le plan qui te fait dire : “À la grâce de Dieu”, que ce qui doit arriver arrive!

 

C’est donc une stratégie d’adaptation (et un réflexe à développer) qui apporte :

  • du pouvoir (sur l’issue et le processus)
  • une posture d’adaptation
  • de la flexibilité.

 

En l’utilisant assez souvent, on finit par identifier rapidement dans une situation donnée les éléments sur lesquels on a du contrôle de ceux qu’on ne contrôle pas. Et parmi ceux qu’on contrôle toujours se trouvent nos gestes, nos actions et l’interprétation que l’on a des événements. Le mode Plan B permet de ne pas se placer en victime d’une situation.

 

Un processus simple

 

Et le processus est relativement simple :

  • identifier le projet et le Plan A
  • élaborer un Plan B (qui réponde aux objectifs – qui se rapportent au final à être heureux, être entouré, aimer/être aimé, se réaliser)
  • ressentir la flexibilité, la libération du contrôle et l’espace qui se crée pour les opportunités et les synchronicités.

 

Un Plan B, c’est un passeport intérieur vers la liberté qui permet d’éviter de se sentir victime des éléments externes en saisissant son propre pouvoir, en adoptant une posture de flexibilité et d’adaptation. Un Plan B ouvre la porte aux opportunités et confirme qu’on accepte que le succès d’un projet ne passe pas uniquement par notre vision individuelle et initiale. Il invite l’Univers à conspirer avec nous (et pour nous) à la réalisation de nos objectifs, quels qu’ils soient.

 

P.S. On t’en parle aussi du Plan B dans cet épisode 😉Faire le choix du bonheur inconditionnel, simple ou pas? [Épisode 49]

En lire plus
Marylène RoyLa force du Plan B [Épisode 77]

Un duo improbable d’outils pour prévenir au lieu de guérir [Épisode 76]

 

Un duo improbable, vraiment?

 

Le chaos peut s’inviter rapidement dans notre quotidien et nous forcer à réagir. Au lieu d’être en mode urgence ou en mode réparation (en mode guérison), on te propose un duo improbable pour intégrer la prévention. Le duo est improbable parce que ces deux outils sont l’un technique/logistique (un échéancier) et l’autre spirituel/introspectif (la méditation).

 

Échéancier ou mettre à l’agenda

 

Si on laisse aller le quotidien, c’est très facile de tomber en mode “réagir aux échéances”. Et pourtant, la plupart des “urgences” sont prévisibles. Plusieurs échéances sont connues longtemps à l’avance et plusieurs tâches que l’on gère ou exécute sont ponctuelles et positionnées dans le temps. L’outil de prédilection pour éviter que les échéances deviennent des urgences est un échéancier. Malheureusement, un échéancier n’est pas universel. Pour être efficace, il doit refléter la réalité de celui ou celle qu’il sert. Alors, la première étape consiste à prendre un moment (un moment de quadrant II, c’est-à-dire important et non urgent) pour documenter les responsabilités et les échéances. Noter dans un fichier Excel ou Airtable ce qui s’invite dans ton quotidien sur une année est le PLUS BEAU CADEAU qu’on peut se faire. Si tu veux t’inspirer, passe voir notre échéancier performant.

 

En listant par mois, le responsable, les projets et les actions/tâches à faire, on peut dresser la liste des échéances prévisibles. Et éviter d’inviter le chaos. Une suggestion qui en est toute une. Si un élément doit arriver à une date précise, mettre cette information dans une colonne “Notes” et conserver l’information par mois.

 

Adopter un échéancier, c’est aussi adopter la posture d’anticiper les échéances. Dès l’arrivée d’un nouveau projet/dossier, on développe le réflexe d’en extraire les dates importantes. Par la suite, on les ajoute à l’échéancier global. Idéalement, tous les éléments qui nous concernent sont par la suite transposés dans notre agenda/calendrier. Donc, ceci permettra de fixer ces échéances dans le temps et ainsi éviter d’avoir à consulter l’échéancier en plus de son propre agenda.

 

Le but est simple : sortir les petites choses qu’on retient dans sa tête sans les écrire et qui drainent de l’énergie. Celles qui bouffent notre efficacité et nous réveillent avant l’aube.😵‍💫

 

Méditer

 

À l’autre bout du spectre, notre second outil/pratique vise à prendre un temps pour méditer avec une méditation guidée. Celles de Gabby Bernstein (en anglais) ou le programme interactif Headspace sur Netflix (disponible en français).

 

L’invitation est simple. Faire de la place au quotidien à des moments d’introspection, de relaxation, de méditation. Pour Claudine, c’est au moment de se refaire un café (donc plusieurs fois dans la journée!). Elle prend un petit 3, 5 ou 10 minutes pour une méditation guidée avec Headspace.

 

“Guidée”, vraiment? Oui! Tout comme l’athlète professionnel prend les services d’un coach pour guider ses entraînements, on a avantage à ne pas simplement compter sur soi et à se laisser inspirer. Être capable de faire quelque chose seul ne veut pas dire qu’il soit nécessaire de le faire seul. La méditation guidée permet de se laisser porter, de s’abandonner, de se laisser guider.

 

Accepter de se laisser guider, c’est se dire : “Je n’ai pas besoin d’être systématiquement la personne qui fait, j’ai le droit d’être la personne qui est.” Encore? “Je n’ai pas à être toujours la personne qui FAIT, je peux être la personne qui EST.”

 

Pas nécessaire de s’asseoir sur un coussin et de brûler de l’encens. Le moment d’introspection que l’on propose peut aussi être dans la marche, en lavant la vaisselle, en pelant des légumes.

 

La méditation peut être difficile. Ce fut le cas au début pour Claudine parce qu’elle croyait devoir faire le vide et ne penser à rien. Donc, elle “échouait” puisque les pensées continuaient d’affluer. Puisqu’une image vaut mille mots, on t’en propose une toute simple qui peut aider. Voir les pensées comme étant des véhicules qui circulent sur une route alors qu’on est assis au bord de la route. Chaque fois qu’on se laisse attraper par la pensée qui passe, on peut voir l’image qu’on a accepté l’invitation d’entrer dans la voiture qui passait. Ou encore de s’asseoir sur le vélo qui circulait. Le fait d’en être conscient et d’en redescendre, pour se replacer sur le bord de la route est la présence. Méditer devient la pratique de regarder les voitures (pensées) sans se laisser emporter/inviter par celles-ci.

 

Un échéancier et la méditation, voilà un véritable duo improbable qui permet de rester aligné, présent et de sortir du chaos! 🙏

En lire plus
Marylène RoyUn duo improbable d’outils pour prévenir au lieu de guérir [Épisode 76]

Pour enfin arrêter de dire “un jour …” [Épisode 75]

 

Un jour ou Jour 1?

 

T’entends-tu parfois dire (ou penser) : “j’aimerais tellement…” ou “quand j’étais plus jeune, je rêvais de…”? Ou encore “si ça n’était pas de (une situation/une personne), je m’écouterais et je ferais…” ? Dans cet article, on veut te proposer une nouvelle façon de regarder une opportunité, un désir, une vision. La nouvelle question qu’on propose est la suivante : Est-ce que c’est “un jour…” ou c’est le “Jour 1 de…”?

 

Pourquoi?

 

D’abord, loin de nous l’idée de se faire sentir coupable de ne pas être dans l’action (et on déteste toute forme de coaching qui prône cette idée de toujours “faire”!).

 

Il y a un temps pour tout! Un temps pour

  • s’inspirer, pour s’asseoir, pour méditer, pour entrer à l’intérieur de soi,
  • s’informer, pour amasser de l’information, pour consommer de la formation,
  • créer (plusieurs de nos journées sont composées d’un peu de tout ça!)
  • bouger, pour se placer dans l’action, pour poser le premier geste.

 

C’est illusoire de penser qu’on peut toujours être dans l’action. Et c’est malsain de se faire sentir coupable de ne pas être systématiquement dans l’action! S’imposer un plan d’action et des gestes quotidiens alors qu’on hésite sur la vision, c’est la recette pour se brûler et se décourager.🔥

 

Rêver, s’inspirer, s’immobiliser : c’est nécessaire à certains moments.

 

Ce l’est encore plus pour les “Generators” selon le human design (70% de la population). Si le sujet t’intéresse, passe voir cet article Q&A sur Goop. (On parlait aussi un peu du human design dans Des outils pour mieux se connaître [Épisode 10]). Le Generator (une génératrice – une locomotive qui produit sa propre énergie vitale à l’infini) doit adopter la stratégie d’attendre pour répondre (wait to respond). Tenter d’initier le mouvement sans percevoir un “indice” de bouger fait souvent avorter les projets du Generator. Lorsqu’il applique sa stratégie et qu’il répond à un élément déclencheur, le Generator est une force vive difficile à arrêter.🚂 Dans cet esprit, c’est un rassembleur qui peut réaliser à peu près tout ce qu’il entreprend.

 

Claudine a personnellement vécu cette situation des dizaines de fois. En se “forçant” à démarrer, à lancer la conversation, à aller aux devants des projets sans attendre de ressentir un élément déclencheur. En effet, la découverte de cette stratégie et du human design a changé sa vie (oui, oui, rien de moins!).😀

 

Comment? En écoutant.

 

La première étape, c’est d’écouter l’inspiration, la vision et de l’accueillir. Qu’il trône sur ton tableau de visualisation ou qu’il te vienne quelques fois par année, ton désir/ta vision mérite d’être accueilli et abordé. C’est le vieux rêve de partir en sac à dos avec une amie et faire un tour de l’Europe? Créer tes propres bijoux? Renouer avec une ancienne connaissance? Changer de carrière et retourner aux études?

Peu importe ce désir, lorsqu’il émerge, on te propose de :

  • l’accueillir
  • sans jugement
  • sans le refouler
  • et de te déposer assez longtemps pour lui poser LA question.

 

LA question

 

Est-ce que c’est “Jour 1” du projet/changement/processus menant à la réalisation de ce désir ou il on lui dit encore “un jour”?

 

Cette question se pose également sans jugement. La réponse qui te vient dans l’immobilité et le silence est la bonne. Si tu n’as pas l’habitude de te poser des questions de cet ordre, on te suggère d’y aller ainsi.

 

  • Tourner la question en affirmation : “c’est aujourd’hui le jour 1 de mon projet de voyage en Europe avec ma meilleure amie du secondaire.”
  • Être attentive à ce que tu ressens au niveau du ventre.
  • Est-ce que c’est “expansif”? Est-ce que tu sens une chaleur, une lumière qui grandit de l’intérieur et qui émane de toi?
  • Ou est-ce que c’est contracté? Est-ce que tu sens que ça se referme, que ça se contracte, comme si tu éteignais une lumière avec un gradateur?
  • Tu peux faire cet exercice avec les deux côtés de la question. Si ça reste flou pour toi, demande à l’Univers (à tes anges gardiens, à Dieu, à Marie, à ceux en qui tu crois). Pour t’aider à entendre la réponse en toi ou à t’envoyer un signe extérieur qui te reflète ce que tu n’entends pas.😉

 

Les réponses

 

Jour 1 = le premier pas noble dans cette direction. Si c’est un voyage qu’on veut faire, le premier pas n’est pas (nécessairement) d’acheter des billets d’avion. C’est peut-être l’achat d’un calepin pour noter des destinations à intégrer au circuit. Ou encore de louer des livres à la bibliothèque sur le pays/la région. C’est aussi de bloquer du temps à l’agenda pour les prochains petits pas nobles dans cette direction. Mais surtout, c’est de trouver quelqu’un (de confiance et auprès de qui tu sais que ton désir/projet résonnera) et de lui parler du démarrage de ce projet/cette idée. Le fait de partager et de verbaliser ce désir ainsi que notre intention qu’il se réalise crée un mouvement au-delà de soi dont on sous-estime les répercussions.

 

Personnellement, on a souvent eu des conversations avec exactement les bonnes personnes. Et en plus, exactement au bon moment pour faire avancer x1000 des projets lorsqu’on a statué que c’était le bon temps pour qu’ils démarrent. Comme quoi, faire confiance à son intuition pour ces conversations (comme pour bien d’autres choses) est souvent la clé!

 

Un jour… = ça n’est donc pas le moment de poser des gestes pour la réalisation de ce désir. Parfait! Pour éviter qu’il émerge à tout moment, on te suggère de mettre à l’agenda la prochaine “réévaluation un jour/jour 1”.

 

Quand?

 

Le meilleur moment pour se poser cette question c’est EXACTEMENT au moment où la pensée émerge, où le désir se manifeste. D’ailleurs, qu’elle soit déclenchée par un élément extérieur (chanson, ton de voix, odeur), lors d’une conversation avec quelqu’un ou qu’elle s’invite durant ta douche : cette pensée n’est pas fortuite.

 

Une pratique

 

Cette question peut s’intégrer dans le quotidien et s’appliquer à chaque pensée relative à un désir/une envie/un vieux rêve. Elle invite à s’écouter, à prendre soin de soi et de ses rêves et à cesser de les refouler ou les ignorer. Choisir consciemment de ne pas poser un geste concret pour la réalisation d’un rêve parce que le contexte n’est pas propice est une belle façon de prendre soin de soi. En se donnant l’occasion de revisiter ce désir à un moment ultérieur, on lui donne toute la valeur qu’il a pour nous. Bref, on l’honore.

En lire plus
Marylène RoyPour enfin arrêter de dire “un jour …” [Épisode 75]

Un tableau de visualisation, un outil indispensable [Épisode 74]

 

La visualisation comme outil

 

À plusieurs reprises, dans le podcast ou les formations, on parle de notre utilisation des tableaux de visualisation. On a décidé de partager la pratique de Claudine pour la création de ses tableaux de visualisation.

 

C’est connu, les stratégies, les outils, les systèmes, on en mange. On aime tout ce qui nous aide à passer efficacement du point A au point B. Mais encore faut-il qu’il existe, le fameux “point B”!

 

Quand on entame un projet, on a souvent une vision claire (des objectifs, des indicateurs, des résultats visés). Mais ça n’est pas toujours le cas (surtout dans les projets plus “personnels” ou dans notre carrière (ou même notre vie). Sans une vision de ce à quoi un demain idéal pourrait ressembler, on peut tomber facilement dans l’errance. Pour trouver l’alignement et donner un sens à nos gestes du quotidien, on veut pouvoir les rattacher à nos valeurs, à une destination (même vague ou imprécise), nos grands objectifs de vie (ou au moins à comment on veut se sentir).

 

Claudine a décortiqué les étapes de confection de ses tableaux de visualisation.

 

Les étapes d’un tableau de visualisation

 

Il faut dire que le processus de création du tableau de visualisation se déroule à quelques moments, sur toute l’année.

 

  • Pochette remplie de coupures de revues : mots et images

D’abord, l’outil de base : une pochette, une enveloppe, une boite, n’importe quel réceptacle qui permettra d’entreposer les images et les mots accumulés durant l’année.

 

  • Revues

Le truc de Claudine : acheter des revues usagées à la bibliothèque (à 0,10$ ou 0,25$ la revue!!). Sinon, fouiller dans les vieilles revues de la maison ou acheter (en dernier recours!). On veut des images déjà imprimées, de tous les thèmes qui nous intéressent (voyages, santé, famille, loisirs, argent, projets, etc.).

 

  • Conservation

Les extras (images, mots ou revues non utilisées) seront conservés d’année en année dans la pochette/enveloppe/boite.

 

  • Sélection principale

Vers l’automne ou dans le Temps des Fêtes : c’est le moment de lire, de découper, et de s’inspirer dans les nouvelles revues et les extras conservés.

 

  • Du temps…

Comme on s’en doute, c’est un processus qui s’étale sur plusieurs jours (ou même semaines) pour laisser décanter ces inspirations. C’est également pendant le même temps qu’on fait sa rétrospective.

 

  • Rétrospective

Processus d’écriture (dans un journal) qui implique l’année en revue (les +/les -, comment je veux me sentir, comment je ne veux PLUS me sentir, les leçons de l’année, etc.) Par ailleurs, un des processus qu’on adore est celui de Danielle Laporte avec son Desire Map.

 

  • Intégration

Avec ces mots, constats, émotions en tête, on repart à la recherche d’images qui interpellent (le moi de maintenant!), qui surprennent, qui inspirent, qui nous “parlent”.

 

  • Archives

Une fois les nouvelles images/mots trouvés, on refait une tournée dans les “extras” archivés (il y reste toujours quelques perles!).

 

On continue…

 

  • Cartes sur table

C’est à ce moment qu’on s’installe sur le bureau/la table et qu’on étale tout ce qui a été retenu et/ou qui est en lien avec les projets, les valeurs, les émotions retenues.

 

  • Thèmes

On regroupe maintenant les mots et les images selon les sphères qu’ils touchent : Travail/Impact, Argent/Valeur, Grands projets actuels, Couple, Parentalité, Famille/Amis, Voyages/Escapades, Créativité, Spiritualité,… Cette liste n’est ni exhaustive ni obligatoire, tes thèmes sont ceux que tu choisis. C’est TON tableau.

 

  • Support

C’est à ce moment qu’on part dans le magasin de matériel d’artistes ou le magasin à rabais de son choix pour acheter un carton de la couleur qui nous allume (et des autocollants thématiques). Et un bâton de colle, parce que celui qu’on retrouve est toujours séché…

 

  • Bricolage

On organise, on déplace, on replace. On visualise l’œuvre finale. Elle peut être ajourée, pleine d’espace. Aussi, le carton peut être complètement couvert tellement il y a d’images et de mots. Bref, tout est possible! Une fois qu’on sent qu’on a trouvé la répartition qui nous inspire, allez hop, c’est l’heure de coller!

 

  • Près des yeux…

Pour Claudine, c’est important de voir le tableau de visualisation. Sans l’avoir sous les yeux constamment, le fait de pouvoir y jeter un œil furtif permet de garder la vision en tête.

 

Abandonner/décrocher

 

Le but d’un tableau de visualisation, ça n’est pas d’être un plan d’action. En effet, il ne fait pas partie du quotidien, on ne travaille pas “dessus” ou “dedans”. En d’autres termes, il inspire, il est la représentation matérielle de désirs, de visions, de valeurs, d’émotions désirées, de rêves. Construire son tableau, c’est appuyer le doigt à la surface de l’eau. Autrement dit, on n’a pas à créer des vagues constamment, en restant sur le bord de l’étang. On traverse la surface une fois et on laisse les ondes se propager, jusqu’au bout, et revenir amplifiées.

 

Il est fort à parier que tu as toi-même quelques histoires de manifestations et de synchronicités. Voici quelques-unes de ces histoires liées aux tableaux de visualisation. D’ailleurs, la première, sur le tableau de visualisation créé par Claudine durant le Temps des Fêtes, quelques semaines avant qu’elle et son conjoint commencent à se fréquenter. En plein centre, une image d’un boisé en pente très paisible. Ce même paysage a été parcouru lors de leur première sortie en motoneige 1-2 mois plus tard, dans une érablière de la région de Stoke. Quand on dit : i-d-e-n-t-i-q-u-e!. 15 ans plus tard, c’est un paysage quasi-identique qu’ils doivent traverser pour se rendre au terrain de leur chalet. Alors, quand ils sont arrivés sur place pour la première visite, ils ont eu un petit instant de surprise (et la conviction que cette place était pour EUX!). 😇

 

Une autre histoire?

 

Le plus récent épisode de Claudine : la mention “Goûter Paris” avec une image d’un resto chic, ajouté à son tableau 2022 “parce qu’il restait de la place dans un coin”… Moins de 2 mois plus tard, son conjoint arrivait un soir avec l’annonce qu’il était délégué à Paris pour des rencontres quelques semaines plus tard. Donc, il fallait trouver un moyen pour que toute la famille puisse y être (congé d’école pour fiston avec devoirs liés aux visites prévues, rencontres/délégation pour Claudine,…).  Tout s’est placé comme un charme. 3 mois après avoir collé les mots “Goûter Paris” sur son carton, toute la famille embarquait pour une escapade chez nos cousins, à peu de frais puisque plusieurs aspects du séjour étaient liés au travail!

 

Explorer pour mieux manifester

 

Si ça te dit d’explorer les possibilités de manifester tes visions et tes désirs à travers un tableau de visualisation, inspire-toi de ces histoires et adapte les étapes proposées pour qu’elles te conviennent. Et un dernier truc : ne retarde pas trop, tu auras déjà hâte de créer le suivant dès que le prochain sera au mur! 😉

 

Tiens-nous au courant de ce que tu feras apparaître dans ta vie grâce à cette nouvelle pratique! 🥰

En lire plus
Marylène RoyUn tableau de visualisation, un outil indispensable [Épisode 74]

Fais pas juste lâcher prise… Abandonne! [Épisode 72]

 

Lâcher prise ou abandonner?

 

Si tu lis ces mots, tu te dis peut-être (comme nous la première fois) : “Oh non non, moi, abandonner : jamais!” La première fois que le concept nous a été présenté, c’est un formateur qui tenait un bâton entre les deux mains et qui disait : “Oui oui, vous lâchez prise (mais il lâchait une main, puis l’autre, sans jamais lâcher le bâton). Moi, je vous suggère d’abandonner!” (et il laissa alors tomber le bâton par terre). Tu visualises le moment (avec le bruit)? Ouep. 😲😲😲

 

Le mot qu’on ne veut pas laisser aller

 

Le mot fait encore plus réagir ceux qui ont eu à guérir une blessure d’abandon. Si c’est ton cas, on t’envoie plein d’amour. Et on te suggère de rester ouvert.e à explorer le concept. Parce que le mot “abandonner”, il crée une résistance et c’est normal. ❤️

 

Note : Abandonner ici n’est pas utilisé dans le sens de capituler, sortir le drapeau blanc, faire le mort, s’en foutre et s’installer devant une série Netflix. Abandonner, ici, c’est laisser tomber les illusions. Comme par exemple, celle que tu es seul.e, que tout doit passer par toi, celle du contrôle, que t’inquiéter de quelque chose ou de quelqu’un aide sa cause… et bien d’autres.

 

Quand on formule un intention claire + qu’on la lance dans l’Univers = l’Univers conspire à t’apporter ce que tu demandes

 

Ce n’est pas magique. Tu le sais, tu l’as déjà vu/vécu. Prends quelques secondes pour te souvenir d’un moment où tu as reçu exactement ce dont tu avais besoin dès que cette demande est devenue claire. Ça avait l’air d’arriver par magie. Mais non.

 

C’est quand tu :

 

  1. Abandonnes l’illusion du contrôle,
  2. Que tu formules en toi une intention claire,
  3. Que tu l’assumes pleinement,
  4. Et que tu la déclares (à l’écrit ou à l’oral, mais en-dehors de ta tête) que TU DÉCLENCHES LA MAGIE.

 

Le bout d’abandonner est hyper important. Sinon, tu te donnes des objectifs, tu fais des plans, tu calcules. Et surtout, tu te convaincs que tu n’as pas assez d’argent, de temps ou de contacts pour arriver à ce que tu désires.

 

On réfère à ce concept en le nommant “manifestation”. Si celui-ci t’est étranger, mais qu’il t’intéresse, une super auteure pour aborder ces concepts est Gabrielle (Gabby) Bernstein.

 

La résistance

 

On citait la résistance, plus haut. Celle que tu as sûrement ressentie à la lecture du mot “Abandonner”. Steven Pressfield en parle dans son livre “The War of Art” (à lire absolument!). L’auteur analyse la résistance. Celle qui apparaît automatiquement dès qu’on vise à passer à un état “supérieur”, à la prochaine étape. Que ce soit dans l’écriture d’un livre (le propos de départ de Pressfield), dans un projet de perte de poids, dans la planification d’un voyage, dans la création d’une entreprise, dans un projet de retour aux études, toute volonté de passer au “niveau supérieur” créera de la résistance. C’est un fait. Donc, il ne faut pas s’en étonner ou se culpabiliser d’y faire face. La résistance est à l’acte de se transformer ce que l’ombre est à la lumière. Dès que l’un apparaît, l’autre est créé.

 

Abandonner c’est sortir de sa zone de confort, c’est viser le niveau supérieur. Abandonner, donc, créera de la résistance en toi.

 

Alors on est pris avec la résistance et il faut se battre, forcer et ramer à sens contraire?? Non non, pas du tout. Il existe plein de trucs pour plonger dans la résistance, la contourner ou lui retirer son pouvoir sur nous. On en préfère un plus que les autres.

 

Notre truc préféré pour aider à abandonner

 

C’est LE truc (qui nous vient de Mel Robbins, on l’adore!) 👍

5… 4… 3… 2… 1… action.
Voilà (pour vrai).
Quand tu penses à faire le geste, l’action, la prochaine étape de ton projet, avant même que la résistance (le doute, la petite voix plate) ait le temps de se manifester, tu démarres ton décompte (dans ta tête ou tout haut)
5…
4…
3…
2…
1…
Go (ou action, allez-hop, bref choisis ton mot).

 

Et tu y vas! Après avoir focussé sur le décompte (qui permet à ton cerveau de se concentrer sur une tâche précise et qui met en sourdine la résistance), tu te lèves et tu vas faire la tâche/action qui te permet d’avancer ton projet.

 

C’est presque trop simple. Et ça marche!

 

Abandonner c’est aussi abandonner des idées, des concepts, une histoire de ton passé qui ne te convient plus, une carrière qui ne te convient plus. On t’invite à abandonner avec la foi que la Vie prendra soin de toi. Et à te laisser porter par cette citation découverte par Claudine il y a quelques années: “Debout au bord de l’abîme, prêt à se jeter dans le vide, on a la foi si on a la certitude que l’une des deux choses suivantes se produira : on trouvera une branche à laquelle s’accrocher ou on apprendra à voler”.

 

P.S. On ne retrouve pas l’auteur de cette magnifique citation, alors si tu le sais, n’hésites pas à nous le dire!

 

👉 Tu veux apprendre un autre truc à essayer pour t’aider avec la résistance? On en parlait justement dans Un principe simple de judo pour te faciliter la vie [Épisode 55]

En lire plus
Marylène RoyFais pas juste lâcher prise… Abandonne! [Épisode 72]

Les deux erreurs à NE PAS faire en fin d’année? [Épisode 71]

 

Lors d’une fin d’année, c’est toujours le moment pour faire une petite réflexion.

 

Maintenant qu’on y arrive tranquillement, on a décidé de te partager deux erreurs à NE PAS faire. Et on a un petit cadeau sous la forme de trois cartes oracles qu’on a pigées pour ton année 2023. Tsé, la magie, on aime cela! ✨🧚🏻

 

Première erreur de fin d’année

 

La fin d’année au 31 décembre est un concept. Sans plus. Rien dans l’Univers ne marque officiellement ce passage. C’est le pape Grégoire XIII qui l’a fait adopter à la fin des années 1500. Cette division de l’année sur 12 mois, de janvier à décembre est un concept qui nous permet de mesurer le temps de la même façon à travers les nations. Alors si la fin d’année te donne de l’anxiété, si tu mesures ta valeur à ce que tu as accompli avant le 31 décembre : décroche. C’est du vent, c’est un concept.

 

D’ailleurs, on t’invite même à faire ce que Claudine a fait avec Que Des Solutions au moment de créer l’entreprise. Choisir une autre date que le 1er janvier comme début d’année financière (dans notre cas c’est le 1er décembre). Les entreprises (au Québec) peuvent choisir leur date de fin d’année financière (à leur création ou à tout moment de son existence en déposant des statuts de modification). Comme le dit l’auteure Theresa Anne Fowler, “La plupart des règles sont des vieilles habitudes que les gens ont peur de changer”. Rappelle-toi aussi que la fin n’est jamais vraiment la fin (d’une année, d’un projet, d’une vie…).😉

 

La seconde erreur de fin d’année

 

Oublie les résolutions! Fais comme le suggérait récemment Gabby Bernstein et sors les résolutions de ton vocabulaire. Pour une bonne raison : elles émanent du mot “résoudre” qui sous-entend qu’il y a un problème dont on cherche la solution. L’énergie qui s’attache à la résolution en est une de manque, de longueur de retard. Elle suggère de plutôt choisir une intention. Déclarer une intention pour l’année qui vient ou l’étape qui vient fait appel à la magie en nous. Un coup de baguette et hop : que 2023 soit mon année de X et de Y et je veux me sentir Z.

 

La fin d’année ou de projet est un moment idéal pour revenir sur ce qu’on a accompli, sur nos objectifs, sur les émotions qui nous habitent en repassant cette étape. Ça peut se faire en quelques minutes, dans un journal. Une page pour le retour sur les grandes étapes, une page pour les wow, une pour les ouache. Et enfin, autant de pages que tu veux pour comment t’as envie de te sentir pour l’étape qui vient. 💕

 

De notre côté, comme on dit toujours à nos client.e.s de focusser, de simplifier, de ne pas manger tout l’éléphant d’un coup, on a décidé de produire le podcast aux 2 semaines à partir de cette mi-décembre 2022. On déclare l’intention formelle de “walk notre talk” et de faire de la place dans notre horaire en faisant passer le podcast/articles de blogue aux deux semaines.

 

Un petit plus

 

On adore les cartes (d’abondance, des anges, de la lune, des archétypes d’animaux) toutes les cartes de type oracle qui nous permettent d’aller chercher des réponses dans l’intangible. Claudine a donc décidé d’en piger trois pour l’année qui vient (prends le message des trois ou de celle qui te parle le plus). Surtout, passe écouter le podcast. Tu vas entendre la “cenne” tomber du paquet de cartes à 10:56, un sou de 1952, l’année de naissance de Line, la maman de Claudine. Tu parles d’un beau signe qu’elle était là avec nous!! wouah!!.🥳

 

Voilà ton message pour 2023

 

Le corbeau blanc | Fais confiance à la magie

Rien dans l’Univers n’est dû au hasard. Les coïncidences ont une signification. Le corbeau blanc t’invite à porter attention aux synchronicités. Le corbeau blanc te guide, il est un messager de l’Univers. L’Univers conspire en ta faveur. Fais confiance à la magie qui est partout!

 

L’antilope | La vie s’accélère

 

Ton évolution personnelle et ta co-création puissante accélèrent. Déclare tes intentions et prends action pour rendre tes rêves, une réalité. Si tu as fait des plans pour ta carrière ou tes finances, c’est le moment de monter tout ça d’un cran. Si tu te questionnes sur une relation, fais le premier pas. La vitesse de l’antilope va rendre tes projets bien intéressants!

 

L’éléphant | Apprends du passé

 

Même si tu souhaites pouvoir laisser le passé derrière toi, l’éléphant te rappelle que la mémoire est importante. Ce qui s’est passé avant te permet de comprendre ce qui se passe aujourd’hui. Tu portes en toi la force et la dignité. L’éléphant t’invite à reconnaître le passé pour les leçons qu’il t’apporte. Toutes les histoires que tu portes peuvent être racontées de plusieurs façons, choisis la tienne et tu peux choisir de raconter la tienne d’une manière qui te donne force et sagesse.

 

Alors pour 2023, sois témoin de la magie. Ouvre-toi aux synchronicités. Accepte que tes intentions génèrent des actions qui accélèrent la cadence de tes réalisations. Honore ton passé et tes erreurs, elles sont les leçons qui te permettent de raconter ton histoire à ta façon.😇

En lire plus
Marylène RoyLes deux erreurs à NE PAS faire en fin d’année? [Épisode 71]

Prends-tu soin de toi comme d’un bébé chat? [Épisode 70]

 

Est-ce que tu prends soin de toi comme tu prends soin des autres? Comme tu le ferais pour un bébé chat?

 

La famille de Claudine a un nouveau membre : un chaton, Louis. 😻 Et cette belle aventure qui commence lui a fait quelques rappels de grands principes de la vie. Les ingrédients de base pour prendre soin d’un chaton, c’est aussi ce qu’on doit faire pour soi.

 

Pour t’aider dans tout cela, on te propose un outil gratuit à télécharger: Un cahier de réflexion pour t’inspirer à prendre soin de toi comme d’un bébé chat! 4 thèmes à explorer pour prendre soin de toi comme tu le ferais d’un chaton!

 

Combler les besoins de base

 

Bébé chat : Les 72h premières heures sont cruciales avec un chaton : présenter la litière, le bol d’eau et la nourriture. Tout cela, après avoir “cat-proofé” la maison pour finalement s’assurer qu’il fait ses besoins (et au bon endroit).

Toi : On a naviguer le virtuel/hybride récemment avec une suite sans fin de teams/zoom/meet sans aller aux toilettes, sans boire, en sautant même des repas… c’est NON!

Ce qu’il faut prévoir :

  1. 5 minutes entre les rencontres.
  2. Eau fraîche accessible (pichet, grand verre).
  3. S’arrêter pour manger une collation nourrissante et pour dîner.
  4. Rencontres de 20-25 ou 50 minutes (au lieu de 30 ou 60).
  5. Repas (ne pas avoir à se poser la question : soit manger la même chose ou avoir un lunch prêt).
  6. Idéalement : bouger, s’aérer le cerveau, marcher.

 

La clé ici : Réhausser nos standards de soins pour nous-mêmes comme si c’était un bébé chat!

 

Fournir un environnement sécuritaire

 

Bébé chat : “Cat-proofer” chez Claudine a voulu dire retirer les élastiques, les emballages jetables, les flocons métalliques de décoration de Noël et même tourner un divan sur le côté dans la journée.

Toi : Dans ton entourage, est-ce que tu côtoies des gens stressés? Tu vis des micro-agressions, du harcèlement? Y a-t-il des moments où tu ne te sens pas en sécurité? Pouvoir dire ta vérité, tes sentiments et établir des limites, c’est le reflet d’un environnement sain. RIEN ne justifie qu’on endure de ne pas se sentir en sécurité (ni une paie, ni une stabilité, ni une illusion de certitude, ni une relation qui dure depuis longtemps…).

 

Commencer petit

 

Bébé chat : L’idéal c’est de l’accueillir dans une petite pièce fermée, dans un environnement réduit pour qu’il s’adapte, étende par la suite sa zone de confort et développe confiance.

Toi : Prends-tu des trop gros projets, des trop grosses bouchées, joues-tu à “tant qu’à” en te mettant plus de pression que nécessaire? Le “planning fallacy” (ou le sophisme de la planification), c’est la démonstration scientifique que l’on sous-estime le temps que prendra une tâche. L’humain a tendance à ne pas tenir compte des preuves historiques dans sa planification. Par exemple, “ça me prend toujours une journée complète pour fermer le mois dans la comptabilité, mais je pourrai sûrement le faire en 2h…”)…😵‍💫 N’essaie pas de manger un éléphant en une bouchée (ou seul.e!).

Tu veux un truc Que Des Solutions? Si tu te poses la question “Ce projet est-il trop gros/ambitieux pour l’instant?”, c’est déjà une indication qu’il l’est sûrement! Pourquoi ne pas le morceler (ce qui te permettra de déjouer ton cerveau dans son sophisme de la planification!). Ensuite, de mettre seulement la première partie dans ton assiette et le reste dans ton agenda?

 

Y mettre BEN de l’amour!

 

Bébé chat : Dès qu’il se manifeste, on doit être là, le flatter, lui parler et s’asseoir avec lui… lui confirmer qu’on est sa nouvelle famille..

Toi : Mets-y de l’amour! BEN de l’amour! Sois la personne qui s’assure que les liens se créent, reviens à l’humain devant toi. Dans toutes nos journées, dans tous nos projets : le secret c’est d’y ajouter de l’amour.💗 Quand il y a du ouache : ajouter de l’amour. 💗💗 Quand ça va bien : ajouter de l’amour. 💗💗

Alors, on peut choisir de devenir le canal par lequel passe l’Amour. 💑 Toute la lumière et l’énergie passent ainsi par nous pour rayonner vers l’autre et dans le monde.

 

N’oublie pas, tu peux télécharger l’outil gratuit: Un cahier de réflexion pour t’inspirer à prendre soin de toi comme d’un bébé chat! 4 thèmes à explorer pour prendre soin de toi comme tu le ferais d’un chaton!

S’occuper de soi pour mieux aider les autres ça te le dit? Passe écouter Fais preuve d’autant de compréhension pour toi que pour les autres [Épisode 52]

 

En lire plus
Marylène RoyPrends-tu soin de toi comme d’un bébé chat? [Épisode 70]

Le truc de mon dentiste pour faire tourner le vent de ton bord [Épisode 63]

Si t’as l’impression de te faire organiser, si tu sens que le vent ne tourne pas de ton bord, si tu sens que les circonstances sont contre toi parfois, on te propose d’adopter la technique du dentiste de Claudine.

 

La veille de chaque rendez-vous de nettoyage (deux par an, pour contrer une crainte fondée de parodontite il y a quelques années), Claudine reçoit un appel de l’une des secrétaires du cabinet de dentiste. Cet appel vise à confirmer le rendez-vous (et une confirmation est demandée, il faut rappeler!). Ce qu’on trouve brillant dans cette technique : l’équipe du dentiste prend soin, elle-même, de ce qui est important pour elle. La priorité est de ne pas laisser une salle vide durant une plage-horaire de la journée du lendemain. Elle s’occupe de faire le rappel à ses clients.

 

Deux aspects importants se détachent de cette technique :

 

1) Importance | ce qui est important pour toi,
2) Responsabilité | celle de prendre soin de toi.

 

Priorité #1- Important

 

Ce qui est important pour toi ne l’est pas nécessairement pour les autres. Duh! Ça semble évident dit comme ça… ET POURTANT. Avoue que tu as des élans de frustration dans la journée de “Ben voyons! Qu’est-ce qu’elle a pensé en faisant ça?” ou “Ne voient-ils pas que la priorité c’est X et pas Y”. La réponse : elle a pensé à ses dossiers et non, ils ne voient pas (leur priorité c’est Y en fait)!

 

DONC : ce qui est important pour toi:

  1. tu dois le savoir
  2. tu dois lui faire une place dans ton agenda (on le répète souvent, mais c’est parce que c’est vrai!)
  3. et tu dois passer à « B) » prendre la responsabilité de le communiquer autour de toi et de DÉMONTRER que c’est important.

 

Priorité #2- Responsabilité

 

Prends soin de toi et ne prends CERTAINEMENT PAS pour acquis que ce qui est important pour toi l’est pour l’autre. Permets-toi de le préciser (en réunion d’équipe, dans tes conversations, dans tes courriels de suivi). Permets-toi de faire des rappels, de demander des suivis, de confirmer que l’invité attendu est vraiment en chemin, n’hésite pas à retourner le lien Zoom de la rencontre du midi en rentrant le matin. Offre ton aide, prends les devants, ouvre la porte pour des commentaires ou des questions, rappelle à tes collègues l’échéance que tu leur a donnée (écrire le mardi pour offrir du soutien pour l’échéance de vendredi…)… Bref,  montre le chemin. Au lieu d’être à la merci des éléments, fais tourner le vent de TON bord.

 

On t’entend déjà dire : « Je vais avoir l’air harcelant.e ou insistant.e), non? » SO WHAT!! Si c’est important et que ça n’arrive pas, il y aura un malaise quand-même (excuses de retard, rush de travail le week-end pour remettre les infos à temps, malaise devant l’absence de la personne et obligation de la remplacer par un animateur médiocre). Aussi bien gérer le malaise immédiatement (et sincèrement, le “harcèlement” que tu perçois, il est seulement dans ta tête).

 

Si c’est ce qui te manque, la voici : la permission de Marylène et Claudine de remettre ton dossier sur le dessus de la pile. C’est une permission sans limite et sans expiration. Utilise-la quand la situation le requiert, elle t’évitera de la frustration. GARANTI!

 

Besoin de plus d’idées? Passe faire une petite recherche selon le sujet de ton choix pour écouter plus de podcasts!

 

Pour nous faire part des tes commentaires/suggestions d’épisodes, tu peux nous écrire ici. Et si tu as aimé cet épisode, svp donne-lui 5 étoiles dans ton appli d’écoute et donne ton avis (ça nous aidera à aider plus de monde en les rejoignant!)

 

En lire plus
Marylène RoyLe truc de mon dentiste pour faire tourner le vent de ton bord [Épisode 63]

2 trucs pour sortir d’une journée de marde [Épisode 62]

 

On en a toutes et tous. Des journées eurk, des journées “ouache”, disons-le : des journées de marde. 🤢  Si la motivation est partie, si la bisbille ou la déprime se sont invitées, si les circonstances semblent contre toi et si tu aurais préféré rester couché.e (comme Passe-Montagne), on a 2 trucs infaillibles pour faire tourner le vent.

 

1. Tendre la main pour aider quelqu’un 👐

 

Partage sur un groupe Facebook dont tu fais partie où un conseil est demandé (pour lequel tu as quelque chose de pertinent à dire bien sûr!), laisse passer quelqu’un dans la file, paie le café de la personne derrière toi au resto,… Trouve un geste simple et entièrement détaché à poser pour quelqu’un d’autre. Des études ont démontré qu’un geste altruiste, en plus de donner un boost de bonheur à celui qui reçoit ET celui qui donne, a même des impacts sur ceux qui en sont témoins! C’est pas peu dire! Si le bonheur est difficile à voir dans ta journée de marde, fais-le apparaître pour quelqu’un d’autre. Et, tu le retrouveras pour toi (mais ne nous crois SURTOUT pas sur parole). Fais-en l’essai! Psst…On donne quelques idées dans l’épisode 51 Donner avant de prendre 

 

2. Avoir une parole aimante pour un proche 💌

 

Que ce soit à l’écrit ou à l’oral, laisse un mot à quelqu’un que tu aimes pour lui dire comment cette personne a un impact positif dans ta vie. Sois précis, par exemple en revenant sur un souvenir ou en nommant une qualité. Le bonheur est comme un boomerang, tu crois le lancer à l’autre, mais c’est vers toi qu’il revient.

 

Une journée de déprime, une journée grisâtre (dans ton cœur) ou tout semble aller de travers n’a pas à rester ainsi. La motivation se cultive chaque jour. Tu as un privilège exceptionnel : celui de choisir tes perceptions et tes gestes. En te tournant vers l’autre (par un geste d’entraide ou par une parole positive), tu renverseras la vapeur sur une journée qui n’a pas nécessairement à être merdique du début à la fin.😇

 

Encore une fois : NE NOUS CROIS PAS SUR PAROLE!

 

Car le mieux, c’est de les tester lorsqu’une journée “ouache” se pointera à l’horizon ! Conserve ces trucs pour la prochaine journée de marde et surtout, mets-les en pratique! 😉💕

En lire plus
Marylène Roy2 trucs pour sortir d’une journée de marde [Épisode 62]

Face au chaos : sérénité, courage et sagesse! [Épisode 61]

 

Alors qu’on est en pleine préparation de notre webinaire et de notre formation pour éliminer le chaos, la prière de la sérénité s’est présentée comme un condensé inspirant d’outils à utiliser!

 

D’abord, la prière : “ Donne-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne peux changer, le courage de changer ce que je peux et la sagesse d’en connaître la différence.”

 

Elle a été écrite par Reinhold Niebuhr, un théologien américain, dans les années 1930 et reprise entre autres par le mouvement des Alcooliques Anonymes (qui semblent placer le courage en premier, puis la sérénité par la suite). Alors, on propose d’analyser cette perle de sagesse en 3 étapes, qui représentent les 3 parties de la prière.

 

1. Première partie : on voit les concepts de sérénité, d’acceptation et de changement

 

Non, mais avoue que c’est facile de blâmer! 😅 Parce que ce qu’on voit le plus rapidement comme étant dérangeant, comme étant chaotique, c’est ce qui vient de l’autre, c’est ce qui nous menace. Car accepter ce qu’on ne peut changer, c’est éviter de tomber dans la volonté de changer l’autre. Accepter ce qu’on ne peut changer, c’est se regarder en pleine conscience. Et accepter ce qu’on ne peut changer, c’est laisser l’autre être. C’est se gérer soi-même et surtout d’accepter que l’autre fera la même chose (ou pas). 🤷‍♀️

 

2. Deuxième partie : on présente les concepts de courage, de changement et de pouvoir

 

Sur quoi as-tu du contrôle? Dans le chaos du quotidien, qu’est-ce qui t’appartient et que tu as du pouvoir? C’est là que se cache ta véritable force (et là où tu auras besoin de courage pour y plonger!!!). Ce sur quoi tu as le plus de contrôle, c’est ta perspective, ta façon de regarder les choses. Si ce que tu vois autour de toi ne te plaît pas, parfois il suffit de changer de perspective. C’est ce que permet entre autres le questionnement proposé par Byron Katie dont Claudine parle souvent (https://thework.com/sites/francais/). Au final, c’est ta responsabilité de choisir ce qui se retrouve dans ton quotidien et, surtout, la façon dont tu le perçois.

 

3. Troisième partie : on termine avec la sagesse, la connaissance et la différence/distinction

 

Il y aura toujours des choses que tu pourras changer et d’autres que tu ne pourras pas changer. C’est immuable. En fait, c’est de savoir la distinction et d’adopter l’approche pertinente (la sérénité ou le courage) qui est important (pour ta santé mentale et le bien-être de ceux qui t’entourent aussi, haha!). Et on le sait, c’est plus facile à dire qu’à faire. On revient facilement au blâme et à passer du temps et de l’énergie à regarder ce que les autres devraient changer. Mais c’est une pratique quotidienne qu’on te suggère. Faire la distinction dans la sagesse et démontrer le courage d’y mettre ton énergie ou la sérénité de lâcher prise! 😇

 

Des idées pour t’aider avec le chaos, ça te dit? Passe écouter l’épisode Perds-tu des minutes précieuses chaque jour? [Épisode 60]. Tu pourras y découvrir un éliminateur de chaos en plus!

En lire plus
Marylène RoyFace au chaos : sérénité, courage et sagesse! [Épisode 61]

Comment notre santé mentale était affectée par notre travail…avant [Épisode 58]

 

 

On ne le dira jamais trop souvent mais notre santé mentale, c’est (et ce doit toujours le rester) notre priorité.

 

Encore plus quand on constate que certaines tâches afférentes à des projets peuvent nuire à cette zénitude tant recherchée (Tsé, viser et demeurer dans le cœur de la tornade, c’est un must!).🌪️

 

Dans notre vocabulaire quotidien, on utilise souvent des mots comme efficacité, optimisation et simplification. Mais au-delà des minutes ou des dollars économisés, on a constaté que notre besoin d’optimiser venait d’un besoin réel (et criant) de prendre soin de notre santé mentale. « Tannée d’être tannée » ou encore  « Écoeurantite aigüe », ça te dit quelque chose ? Tu as sûrement déjà entendu maintes et maintes fois ces expressions-là qui souvent utilisées à toutes les sauces.

 

Pour nous, c’est TROP souvent arrivé :

 

  • Après des fichiers Excel qui nous levaient le cœur. 🤢
  • Après des formulaires en pdf à retranscrire. 🥵
  • Après des bénévoles à appeler parce que personne n’avait pris leur courriel. 😵
  • Après avoir préféré attraper la gastro plutôt que de devoir cliquer sur toutes les petites bulles de commentaires d’un pdf envoyé à 8 personnes. 🤒

 

Alors, notre recherche d’outils et d’optimisation part de la nécessité de prendre soin de nous. Notre santé mentale valait qu’on s’arrête et qu’on modifie nos méthodes. Avec des palpitations pour Claudine et des boutons pour Marylène, on a vu l’impact que certaines parties de notre travail avait sur nous et sur notre santé. C’est pas normal ça!

 

Personne ne devrait avoir le moral à plat en raison de l’information à gérer au boulot. JAMAIS. Un fichier Excel, c’est inoffensif. En effet, on ne devrait surtout pas lui laisser l’emprise sur notre santé mentale. Et non, une boite de courriels ne devrait pas non plus nous donner des maux de ventre.

 

Donc, c’est de là que vient notre recherche d’efficacité.

 

✨ Pas pour en faire plus. Ni même pour faire mieux. Mais pour être mieux. ✨

 

Comme le disait le maître bouddhiste Jack Kornfield :  “ Si ta compassion ne t’inclut pas, elle est incomplète.” C’est un pensez-y bien! 🙏

 

Finalement, tu veux des suggestions, là maintenant? Passe écouter Avec quels outils/applis je pourrais me simplifier la vie? / buffet-techno Partie 1 [Épisode 3] et Partie 2 [Épisode 4]

En lire plus
Marylène RoyComment notre santé mentale était affectée par notre travail…avant [Épisode 58]

Discussion avec soi-même, l’art de s’autogérer au quotidien [Épisode 57]

 

S’autogérer au quotidien ou avoir une bonne discussion avec soi-même (question de mettre le tout au clair!)

 

C’est en fouillant dans un cahier de prise de note pour chercher carrément autre chose que Marylène est tombée sur un cadeau inattendu qu’elle avait enfoui bien loin des yeux et des regards. Elle a retrouvé des petites perles de sagesse qu’elle avait écrites après avoir entendues, lues ou carrément qui lui avaient été dites à différents moments dans sa vie. Quand on fait de telles découvertes, c’est toujours bon de se les remémorer, de les écrire sur un post-it ou encore de les partager avec les collègues quand une situation pas trop confortable se présente le bout du nez. On peut donc voir cela comme de bonnes discussions qu’il peut être bon (voire ultra-bénéfique) d’avoir avec soi-même pour s’autogérer au quotidien.

 

Voici donc les 6 petites perles de sagesse proposées:

1- Je dois vendre mon expertise et non mon adrénaline

 

Ouff! Celle-ci est nécessaire pour aider à calmer le système nerveux qui veut toujours s’emballer quand on a 1000 et un projets à terminer, des séances à animer, des gens à motiver. C’est un naturopathe qui m’avait partagé cette phrase d’une grande sagesse. Pour faire une bonne image afin de bien faire comprendre le tout au cerveau, on va y aller avec une image de la préhistoire, au moment où l’adrénaline était le mode de survie. Au début, tu chassais le mammouth avec tout le monde. Mais maintenant, c’est comme si ce n’est plus à toi d’aller chasser le mammouth. Tu dois laisser les plus jeunes (ou les autres, c’est selon) y aller. Mais TOI, tu restes au village pour les conseiller, leur donner des stratégies, les aider dans leurs démarches. Ainsi, tu laisses les autres aller au combat pendant que toi tu utilises tes forces différemment. Et cela, ça va être ta recette secrète pour conserver ton énergie. 😉

2- Le stress peut vivre sans moi.

 

Oh que cela, c’est beau! C’est vraiment une découverte. Quand on est capable de prendre sa distance du stress, on va ailleurs. Ça nous permet de prendre du recul face à une situation, à une décision pour qu’un certain détachement puisse embarquer. C’est comme si on personnalise le stress, on lui donne un nom (ou c’est comme un personnage). On se dit que lui, ce n’est pas moi. On peut l’envoyer prendre une marche, on peut lui donner des vacances… Bref, on prend nos distances.

3- La meilleure décision, c’est celle que je vais prendre.

 

Faire des  choix, ce n’est pas toujours facile. Parfois, c’est très simple mais quelquefois c’est oh combien compliqué car ça implique 1000 et une choses. On peut retarder la décision car on n’est pas prêt, on n’a pas assez réfléchi, on n’est pas sûr.. Aussi, ce peut être parce qu’il nous manque des informations pour pouvoir prendre une bonne décision réfléchie.  L’important, c’est qu’il ne faut absolument pas rester entre 2 chaises.

 

Mais dans les moments où l’on retarde parce que cela ne nous tente pas, parce qu’on a peur de prendre une décision, c’est là qu’on doit se LA dire à nous-même, se la répéter et se la répéter encore une fois: « La meilleure décision, c’est celle que je vais prendre. »  

4- Le plan, ce n’est pas de plan. Oui mais non.

 

Oui ET Non parce qu’il y a un peu des 2. Ce n’est pas blanc, ce n’est pas noir. On se situe plus dans tout le spectre des couleurs. Oui d’un côté pour la flexibilité qu’on doit pouvoir avoir au quotidien ou dans un projet. On doit se permettre de pouvoir se réajuster au moment opportun, et cela même si ça arrive 10 fois avant la fin.

 

Et Non, car sans structure, sans planification, sans organisation aussi minimes que cela peut être, on fait un peu de ci, un peu de ça…Mais on n’avance pas aussi bien qu’en travaillant avec des outils qui nous permettent de mettre en place un certain chemin à suivre avec au bout, une destination finale.

 

L’autre jour, elle a lu une citation qui disait « Un objectif, c’est un rêve qui a mis ses bottes de travail. » Donc, on atteint surtout ses rêves en mettant les efforts qu’il se doit et en se créant un plan, donc une structure. Oui la magie mais la magie au service du concret. 🧘

5- Plus c’est clair, plus on a le pouvoir sur la situation (du moins ce que l’on peut contrôler) Clarity = Power

 

Une intention claire apportera toujours des résultats clairs. Si cela reste toujours un brouillard, du nébuleux, du pas sûr, c’est plus difficile de pouvoir réagir où et quand il le faudra. Je parle ici sur ce que l’on peut contrôler, les variables les plus concrètes. Et tout cela, c’est dans l’engagement, dans le concret que tu vas pouvoir faire avancer les choses. Pas ce qui reste dans ta tête.

Donc, prend des décisions, soit clair et spécifique dans tes demandes.

6- On ne va pas pour la perfection, mais pour le progrès.

 

On se donne le droit d’essayer. On se donne le droit à l’erreur, mais surtout on se félicite de continuer à avancer. Plus on crée, moins on est attaché à ce qu’on a créé, plus on réussira à créer des solutions innovantes, des versions 3-4-5. Bref, on va juste améliorer ce qui est. On reste donc toujours dans l’action sans être dans l’attente du résultat. Et ça, c’est la liberté de créer!

 

Des petites perles de sagesse, c’est souvent ce qui aide à avancer, ce qui nous donne le petit coup de pouce quand on ne sait pas trop. S’autogérer pour mieux évoluer. C’est comme la petite fée marraine qui te chuchote ses phrases magiques pour te permettre de continuer à avancer. Finalement, on réussit à simplifier et à optimiser avec une bonne dose de légèreté et de facilité !

 

Bonne journée là… avec tes petites perles de sagesse! 🥰

 

Pour t’aider à implanter certaines de ces perles de sagesse, passe écouter As-tu vraiment un mandat clair? 6 questions pour le savoir [Épisode 46] ou encore procure-toi la Formation l’échéancier performant.

 

Aussi, on te suggère un beau livre d’inspiration qui peut t’aider à découvrir tes propres perles de sagesse: 108 perles de sagesse du Dalaï-Lama pour parvenir à la sérénité

En lire plus
Marylène RoyDiscussion avec soi-même, l’art de s’autogérer au quotidien [Épisode 57]