Faire le choix du bonheur inconditionnel, simple ou pas? [Épisode 49]

 

La pensée positive (le verre à moitié plein, le soleil qui brille derrière les nuages) est-elle de la psycho-pop à 2 sous? Ces belles phrases nous conviennent quand ça va relativement bien. Mais quand la vie nous rattrape (conflits au travail, problème de santé), c’est facile de se laisser emporter dans un tourbillon qui nous éloigne du bonheur. À première vue, faire le choix du bonheur inconditionnel n’est pas toujours aussi simple lors de ces situations.

Un des chapitres du livre de Michael Singer (The untethered soul / L’âme délivrée) porte sur le bonheur inconditionnel et ce concept a résonné avec nous.

Il le présente comme un choix. Un choix fort simple : choisir le bonheur, inconditionnellement.

L’auteur présente ce choix comme la voie la plus simple et accessible pour entamer un éveil spirituel. Mais aussi surtout comme le meilleur moyen de s’assurer de bien profiter du temps qu’on a sur Terre!

Et bien, comment on fait ça, choisir le bonheur inconditionnel?

Simplement en décidant que dorénavant, on sera heureux, peu importe les circonstances. Ce choix impose automatiquement d’adopter une nouvelle perspective dès que la première embûche se présente. Parce qu’on le sait, elle se présentera! Afin de ne pas s’écarter de ce bonheur, consciemment choisi, il devient maintenant nécessaire de ne pas seulement réagir aux événements et de se laisser porter par la vague des émotions. On y plonge, sans faire fi de ce qu’on ressent, mais en faisant le choix conscient de voir au-delà de la circonstance. C’est de voir à quel point le bonheur peut rester présent. Celui d’être en vie, d’être aimé, d’être entouré, d’apprendre, d’avoir la parole, d’avoir un toit, d’avoir un travail, d’avoir la liberté….

Celui qui s’est défait d’une dépendance a fait ce choix. Peu importe les circonstances, retourner à la dépendance (prendre un verre, fumer, jouer pour l’argent, etc.) n’est pas une possibilité. Le choix est clair, il n’est pas à refaire tous les jours. Il suffit de s’appuyer sur celui-ci jusqu’à la prochaine envie. Simple à dire… Oh combien ardu les premiers jours et semaines, ajoute l’ex-fumeuse en Claudine!

L’auteur rappelle aussi que le but de notre existence est d’apprendre de nos expériences et d’évoluer en tant que personne. Il ajoute qu’on n’a certainement pas été mis sur terre pour souffrir. Et surtout, que l’on n’aide personne en étant misérable! Peu importe nos croyances philosophiques, les faits demeurent : nous sommes nés et nous mourrons. Tant qu’à avoir ce temps limité devant nous (et avec ce terrain de jeu aussi vaste qu’est notre Univers), il nous suggère alors de faire ce choix. Et celui-ci, c’est d’être heureux, peu importe les circonstances.

Un truc concret 

Alors, un truc concret devant un revirement de situation (qui nous éloigne de notre Plan A)? Établir un Plan B qui est aussi (sinon plus) intéressant, plaisant, exaltant!

Le Plan B permet de changer la perspective, il permet de retrouver un ancrage, de retrouver la responsabilité de son propre bonheur. Il permet de prendre du recul aussi.

Avec le choix du bonheur inconditionnel, on constate que même dans la tempête (comme dans les derniers mois de vie d’une maman), on peut choisir à chaque instant de voir la lumière au lieu de la noirceur, de voir l’amour au lieu de la perte.

Une suggestion pour voir comment le bonheur inconditionnel peut résonner dans ta réalité (c’est le test qu’on a choisi de faire). En fait, on t’invite à faire un audit de tes pensées et de tes émotions durant une semaine. Face aux circonstances de la vie, quelles sont tes réactions? Quelles sont tes actions, tes paroles et tes choix?  Qu’est-ce qui te fait dévier de ton bonheur inconditionnel? Quelles circonstances te font choisir de te tourner vers l’inquiétude, l’anxiété, la colère? En somme, pose-toi en observateur, sans juger.

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Marylène RoyFaire le choix du bonheur inconditionnel, simple ou pas? [Épisode 49]

La douleur maintenant ou la douleur plus tard? [Épisode 45]

 

On t’invite à choisir la douleur maintenant au lieu de la douleur plus tard. Qu’on l’appelle douleur ou inconfort, on parle ici des émotions négatives (colère, honte, anxiété, stress) qu’on ressent face à une situation. Le concept de “vivre la douleur maintenant au lieu de la douleur plus tard”, c’est de prendre conscience que la douleur que l’on évite sur le coup ne sera pas véritablement évitée, mais qu’elle sera simplement retardée (et sans doute déplacée/transformée entre temps).

Un exemple flagrant de ce concept est la sortie de Claudine et son conjoint dans un restaurant qu’on leur avait chaudement recommandé. À l’arrivée des assiettes, la pièce de viande servie était tout sauf un filet mignon et, après tergiversation et malaise, elle a été retournée en cuisine. Le délai pour cuire la seconde pièce a été tellement long que les deux assiettes (les accompagnements du filet mignon et le tartare de Claudine) avaient été entièrement dégustées et ils ont donc annulé la commande de la pièce de viande. Inconfort, malaise, serveur qui s’excuse, chef qui vient s’excuser et demande ce qui n’a pas fonctionné, s’ensuivent une série d’échanges inconfortables, mais pertinents. Et puis le chef s’assoit à la table, le resto se vide, le serveur s’ajoute, discussions animées sur la bouffe, sur les humains, sur les malaises, sur l’authenticité. L’expérience finit par une tournée du restaurant, de l’auberge, l’abonnement sur Instagram à l’entreprise de confection de bijoux de la copine du chef et des au revoir chaleureux. Alors que si rien n’avait été dit (comme ça avait déjà été le cas auparavant), un goût amer serait resté dans la bouche des deux amoureux (on ne revient plus ici, c’était mauvais et trop cher, pourquoi est-ce que ça nous est arrivé?, on ne prend plus jamais de filet mignon dans un resto, la prochaine fois on retournera l’assiette si ça arrive… etc.).

Quand on laisse l’inconfort être, quand on se permet de vivre la douleur maintenant, on apprend la leçon qui est devant nous et on évite la douleur plus tard. On évite aussi l’un des regrets les plus répandus auprès de mourants, qui est le fait de ne pas avoir osé (osé dire sa vérité, osé être soi-même, osé vivre la vie qu’on souhaite).

Ce concept, d’accepter la douleur maintenant au lieu de la retarder (parce qu’on ne l’évite pas entièrement), dans un contexte très pratique, peut s’exprimer dans le fait de “commencer avant d’être prêt”. Se permettre d’apprendre en faisant les choses, c’est accepter de plonger dans la douleur maintenant au lieu de la retarder. On finit par se rendre compte qu’on n’est jamais vraiment prêt. Jamais.

Dans les relations, le concept de la douleur maintenant au lieu de la douleur plus tard, s’exprime entre autres dans le feedback et les conversations authentiques. Faire un retour sur la performance d’un subordonné et donner des commentaires authentiques (bons et mauvais) qui permettront de communiquer exactement ton évaluation de la situation, c’est accepter de vivre un inconfort momentané. Et attention : un feedback qui inclut une évaluation “négative” doit être assumé et doit provenir d’attentes claires (n’impose pas tes attentes aux autres si tu n’exprimes pas clairement tes besoins! svp ne sois pas un gestionnaire passif-agressif comme il y en a tant!!). Aussi, comme l’exprime Gary Zukav dans le livre “Soul Stories” la coopération véritable nait d’une certaine friction ou d’un conflit. C’est cette situation “négative” qui permet de s’élever et de révéler le plein potentiel des humains impliqués.

Comme on est devenus intolérants à la douleur dans notre société, on a oublié que certains de nos plus grands apprentissages proviennent d’une situation qui a impliqué douleur ou inconfort. Comme le muscle dans l’exercice physique ou le col de l’utérus au moment des contractions, la douleur est un “passage obligé” dans laquelle il vaut la peine de plonger au lieu d’y résister.

Permettons-nous de vivre un inconfort dans l’optique d’apprendre de la situation, de connecter avec les humains présents et d’éviter de simplement la “pelleter vers l’avant”.

Fais-nous signe pour nous dire comment ça résonne dans ta vie!

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Marylène RoyLa douleur maintenant ou la douleur plus tard? [Épisode 45]

Entre l’incompétence et le génie, quelle zone préfères-tu? [Épisode 44]

Les connais-tu, toi, tes zones?

 

On le dit souvent, un échéancier c’est important dans la saine gestion d’un événement et d’une organisation. Pour nous, c’est l’un des 4 piliers de la gestion d’événements (le budget, la mission/vision et l’organigramme). Que ce soit lorsqu’on le met en place ou lorsqu’on en révise le contenu (surtout les responsabilités et les tâches), on peut rapidement constater que certains éléments qui nous incombent pourraient/devraient aller “dans la cour” de quelqu’un d’autre (ou être carrément éliminées!).

 

Donc, on propose d’explorer des outils pour identifier ce qu’on conserve.

 

Les 4 zones de Gay Hendricks (tirées de son livre “Le grand bon”)

 

  • La zone d’incompétence : Toutes les activités pour lesquelles nous ne sommes pas doués (c’est souvent l’endroit où on s’entête à économiser un peu…).

 

  • La zone de compétence : Une activité pour laquelle on est doué, mais qui pourrait très bien être faite par quelqu’un d’autre, où notre participation n’a pas de valeur ajoutée. C’est une zone où on passe normalement beaucoup trop de temps et d’énergie.

 

  • La zone d’excellence : Les activités que l’on accomplit extrêmement bien. Habituellement, on gagne notre vie dans cette zone. Selon l’auteur, “ pour les gens qui réussissent, cette zone est un piège séducteur et même dangereux parce qu’y demeurer vous empêche de faire un bond dans votre zone de génie. C’est l’endroit où vous êtes confortable et qui créera votre propre dépendance.”

 

  • La zone de génie : C’est l’ensemble des activités pour lesquelles on possède un don unique. C’est l’endroit où tu brilles, où tu vibres. C’est ce qui ne te coûte pas d’énergie (et même qui t’énergise). On peut le reconnaître avec les sensations intérieures, mais aussi par les commentaires des autres. Si c’est difficile pour toi d’identifier ce qui relève de ta zone de génie, passe voir Marie Forleo.  Elle a a du contenu exceptionnel pour t’aider à trouver ce qui te fait briller, tes talents particuliers, ton dessein.

 

Par conséquent, trouver sa zone de génie est un exercice extrêmement intéressant au point de vue personnel. Voilà pourquoi on t’invite réellement à t’y plonger si ce n’est pas déjà fait! Un épisode qui pourrait te permettre de découvrir des outils pour le faire. Épisode 10 | Des outils pour mieux se connaître.

 

Et là, tu te dis : c’est bien beau, mais…

 

Concrètement, qu’est-ce que je peux faire?

 

1- Identifier : Dans une colonne supplémentaire de l’échéancier et pour chaque tâche/responsabilité, identifie dans quelle zone tu te trouves (ça peut être très intéressant comme exercice (ou troublant, ou décourageant… selon le cas!)).

 

2- Filtrer : Crée une vue ou un filtre pour voir tout ce qui se trouve dans ta zone d’incompétence et de compétence afin de pouvoir l’identifier comme potentiellement “À déléguer”.

 

3- Éliminer : Avant de penser déléguer, fais comme en gestion des matières résiduelles (le principe des 3RV) et réduis d’abord (dans notre cas : élimine carrément la tâche si elle n’est pas nécessaire/importante/bien définie).

 

4- Déléguer : Applique le processus de délégation en 4 étapes de Theresa Loe.

 

5- Laisse-moi te le montrer : Tu exécutes la tâche, l’autre regarde, pose des questions et prend des notes.

 

6- Laisse-moi te mentorer : Tu établis les critères, tu reviens sur les étapes, tu cibles les résultats attendus.

 

7- Laisse-moi te regarder le faire : Tu regardes, sans faire de commentaires durant le processus et vous faites une rétroaction par la suite.

 

8- Laisse faire! : C’est clair : décroche!

 

À ne pas oublier

 

D’ailleurs, on parle d’actions dans l’échéancier pour éviter les termes tâches/responsabilités, justement parce que ces termes sont délicats. Quand on délègue, pour permettre à l’autre de se sentir pleinement impliqué, il faut déléguer une responsabilité et non une tâche. La tâche déléguée crée un automate. La responsabilité déléguée crée un responsable! Lorsqu’on délègue une responsabilité, on donne des outils, on demande un résultat et on offre de la liberté dans le “comment” ce sera fait.

 

Alors, laisser faire, décrocher et lâcher le contrôle, lorsqu’on délègue, permet de garantir l’adhésion de l’autre et son appropriation du résultat. C’est le meilleur moyen de créer une relation gagnant-gagnant.

 

Tu aimerais bien intégrer tout cela dans un échéancier qui fonctionne? Découvre notre échéancier performant! Il peut réellement faciliter ta vie!

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Marylène RoyEntre l’incompétence et le génie, quelle zone préfères-tu? [Épisode 44]

Nos 4 trucs infaillibles pour apprendre à apprendre [Épisode 43]

Aujourd’hui, on répond à la question : comment on fait pour consommer, intégrer, prioriser et retenir toute l’information qu’on capte et qu’on fait ricocher vers toi? (la sous-question est bien sûr : comment tu peux faire, toi, pour trouver la bonne information et l’apprendre facilement). La réponse hyper courte : en apprenant à apprendre. (C’est un héritage du formidable (et regretté) Sébastien Duchesne, merci mon cher ami).😀

Apprendre à apprendre, c’est devenu d’autant plus pertinent dans notre monde en constant mouvement. Tant de choses qui existent aujourd’hui et qui font partie de notre quotidien relevaient de la science-fiction il n’y a pas si longtemps! La technologie évolue à vitesse Grand-V et on est constamment en formation dans toutes les sphères de notre vie.

Dans notre vie de tous les jours, chez Que Des Solutions, apprendre à apprendre, ça se déploie en 4 éléments :

L’intuition : C’est la première chose qui guide vers quoi on se tourne, à quoi on s’intéresse. On est à l’écoute des synchronicités, des choses qui reviennent, des “coïncidences”. On écoute la petite voix. On applique l’adage qui dit que “quand l’élève est prêt le maître apparaît”. Plusieurs des outils, stratégies et principes qu’on utilise au quotidien nous ont été livrés “par hasard” ou “par magie”.

La curiosité : l’abonnement à des infolettres pertinentes, l’écoute de podcasts sur les sujets qui nous intéressent professionnellement, la participation à des groupes facebook et l’abonnement à des pages pertinentes Instagram/LinkedIn/Facebook sont nos façon simples de recevoir de l’information pertinente (appuyons sur le mot pertinent). Attention de ne pas être submergée d’information : si tu n’as pas lu les 4-5 derniers courriels de cette source, tu peux te désabonner (et te réabonner quand tu voudras!! c’est TA boite de courriel!!).

(Truc : allie ta curiosité à ton intuition, laisse-toi guider par les couleurs, les mots, les émotions, les impressions, les “hasards”.)

L’intention d’apprendre pour enseigner/expliquer : le fait d’avoir à vulgariser un concept et d’aborder l’apprentissage en ayant déjà l’intention de le communiquer à quelqu’un d’autre fait qu’on approche une nouvelle matière différemment. On aime bien qu’une nouvelle méthode/stratégie puisse tenir dans une page, avec quelques mots-clés, l’apprendre pour être en mesure de la transmettre en quelques minutes (au moins un survol) à une collègue et l’implanter/la tester rapidement (pour voir si, au-delà de son apparence pertinente, c’est une méthode qu’on veut garder et intégrer dans nos pratiques).

Les connexions : on s’assure d’être ouvertes aux connexions, aux adaptations de pratiques provenant d’autres domaines. Dans tout ce qu’on fait (tous), il y a des humains. Il ne faut donc pas s’étonner que les problématiques qu’on vit dans un domaine aient leur parallèle dans d’autres domaines. La solution développée sur la ligne de montage d’une usine peut être la solution qui fonctionnerait au sein de ton organisme communautaire.

Mettre son chapeau d’élève (suivre son intuition, être curieux, apprendre dans l’optique d’expliquer et faire des connexions hors de la boite), c’est aussi aborder la vie autrement. C’est se donner des occasions de dédramatiser le quotidien, en changeant la question pour passer de “pourquoi est-ce que ça m’arrive à moi?” à “qu’est-ce que je peux apprendre de cette situation?”. Aborder la vie avec la volonté d’apprendre, c’est également transformer les “obstacles”, les “erreurs” et les “conflits” en occasions d’apprendre. Et l’autre devient alors notre enseignant (sur nous-mêmes).

La question la plus puissante de notre arsenal reste toujours : qu’est-ce que cette situation peut m’apprendre? (La preuve, cette question posée par une auditrice nous a fait comprendre et mettre sur papier nos propres principes d’apprentissage!).

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Marylène RoyNos 4 trucs infaillibles pour apprendre à apprendre [Épisode 43]

Optimiser, en intégrant les cycles dans ta gestion de temps [Épisode 41]

Qu’ils soient lunaires, menstruels (t’inquiète on ne s’étend pas sur le sujet à la demande de Claudine!) ou saisonniers, les cycles sont partout dans nos vies. Ils sont à l’origine de nos vies! Récemment, Claudine a entendu Kate Northurp (de The Origin Company) présenter l’intégration des cycles dans notre quotidien comme étant la réponse à notre culture professionnelle effrénée.

À la fin de l’écoute, Claudine était, littéralement « sur le cul! ». Elle a constaté qu’elle escamotait presque systématiquement non pas une, mais bien deux des quatre (!) phases proposées… Ouch!

Les voici :

ÉMERGENCE (comme le printemps) : planifier et lancer.
VISIBILITÉ (comme l’été) : lancer, se connecter et être visible.
CULMINATION (comme l’automne) : se concentrer, compléter, analyser.
LE VIDE FERTILE (comme l’hiver) : se reposer, réfléchir et se laisser aller.

Tu peux le calquer sur le cycle menstruel (visibilité culminant avec l’ovulation et vide fertile couvrant les menstruations) ou encore avec le cycle lunaire (si tu n’as pas, plus ou jamais eu de cycle menstruel).

Tu aurais dû lire les échanges entre Marylène et Claudine suite à cette écoute/lecture et à l’intégration des principes. Renversées, ébahies, stupéfaites, il manque de mots pour décrire leur étonnement du départ et leur bien-être de la suite! Prôner l’efficacité est une chose, mais soutenir et vivre l’efficacité effrénée, qui ne respecte pas le rythme de nos vies, disons que ça a porté à réflexion.

Passe écouter l’épisode et fais-nous signe pour nous dire comment ça résonne dans ta vie!

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Marylène RoyOptimiser, en intégrant les cycles dans ta gestion de temps [Épisode 41]

La coopération, ton arme secrète pour l’année qui vient [Épisode 39]

Cette semaine on te propose une arme secrète pour l’année qui débute : la coopération. Selon la définition venant du livre Soul Stories de Gary Zukav, la coopération met de l’avant la personne/la relation au lieu de l’objectif commun. Au-delà de l’invitation à la coopération, on te propose également 3 tactiques/techniques pour la mettre en place :

1. Un nouveau regard sur ceux avec qui tu collabores déjà

2. Une communauté d’esprit

3. Des groupes ou des pages inspirantes sur les médias sociaux

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Marylène RoyLa coopération, ton arme secrète pour l’année qui vient [Épisode 39]

La parfaite imperfection [Épisode 38]

En ce début de nouvelle année, on te propose une invitation à la douceur et à l’acceptation (avec une playlist de spa en background!!)!

Parce que les derniers mois n’ont pas été tendres avec nous.

Parce qu’on oublie trop souvent que la perfection n’est pas de ce monde.

Parce qu’on a des attentes hyper-élevées envers nous-mêmes et qu’on doit décrocher un peu.

Prendre du recul.

Se donner de la place pour être parfaitement imparfaits.

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Marylène RoyLa parfaite imperfection [Épisode 38]

C’est Noël, fais comme les enfants! [Épisode 37]

Pour cet épisode d’avant-veille de Noël 2021, on te propose de te connecter sur ton coeur d’enfant, de faire comme les enfants, pour 3 aspects :

– accueillir tes pensées comme des enfants (surtout tes pensées stressantes)

– être « bucké.e » comme un enfant (et ne pas laisser les autres mettre un étiquette sur toi, surtout pas toi!)

– jouer comme un enfant (tsé faire quelque chose sans autre but que de le faire!).

C’est une recette magique pour décrocher et pour avoir du plaisir. Pour reconnecter avec l’enfant en toi, cet être qui est capable de croire aux miracles, de relever des défis immenses et d’aimer sans condition.

Pour en savoir plus sur Byron Katie, passe écouter l’épisode 13 – « Des pratiques simples pour un quotidien plus léger« .

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Marylène RoyC’est Noël, fais comme les enfants! [Épisode 37]

Notre voeu pour toi pour l’année qui vient [Épisode 36]

Décembre, c’est le temps des rétrospectives, c’est le temps des souhaits, c’est le temps des cadeaux. On a un voeu pour toi pour cette année qui va débuter prochainement, comme les bonnes fées marraines des contes, qui donnaient un coup de baguette :« la constance »

Oui, oui, que la constance soit avec toi!

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Marylène RoyNotre voeu pour toi pour l’année qui vient [Épisode 36]

Être ou paraître, là est la question! [Épisode 32]

Dans cet épisode, on explore ce qui fait qu’un événement peut marquer ses participants, quand « l’être » émerge et le « paraître » reste à la maison. Tant comme organisateur d’événement que comme participant, on peut aborder notre participation avec un but de projeter une image et de tirer un bénéfice ou avec un but de vivre quelque chose, de se présenter dans l’ouverture et l’authenticité.

Une expérience récente en congrès a fait conclure à Claudine que miser sur l’être crée des opportunités immenses de connexion, qui vont au-delà des cartes d’affaires échangées.

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Marylène RoyÊtre ou paraître, là est la question! [Épisode 32]

C’est pas ta faute, c’est ton cerveau [Épisode 30]

Quand tu essaies quelque chose de nouveau, tu ressens de la résistance? C’est pas ta faute, c’est ton cerveau! 😉

Oui, oui, cette semaine on t’explique pourquoi c’est difficile de sortir de ta zone de confort. C’est biologique. On parle de la fonction de ton cerveau de te protéger du danger, on parle de neuroplasticité, on parle de risque.

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Marylène RoyC’est pas ta faute, c’est ton cerveau [Épisode 30]

Fais-le, après tout, le monde s’en câli…! [Épisode 29]

Lao Tseu disait : Souciez-vous de ce que pensent les autres et vous serez toujours leur prisonnier. On peut même aller plus loin. En fait, on se rend prisonnier de ce que l’on PENSE que les autres PENSENT… imagine! C’est une vie d’asservissement si on reste là… Autant en sortir non?

Claudine s’est permis cette semaine de sacrer un peu (un peu?) pour te passer le message de cesser immédiatement de garder caché ce qui brille en toi, par peur de ce qu’en penseront les autres. Ils s’en foutent de toute façon! 😉

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Marylène RoyFais-le, après tout, le monde s’en câli…! [Épisode 29]