Faire le choix du bonheur inconditionnel, simple ou pas? [Épisode 49]

 

La pensée positive (le verre à moitié plein, le soleil qui brille derrière les nuages) est-elle de la psycho-pop à 2 sous? Ces belles phrases nous conviennent quand ça va relativement bien. Mais quand la vie nous rattrape (conflits au travail, problème de santé), c’est facile de se laisser emporter dans un tourbillon qui nous éloigne du bonheur. À première vue, faire le choix du bonheur inconditionnel n’est pas toujours aussi simple lors de ces situations.

Un des chapitres du livre de Michael Singer L’âme délivrée porte sur le bonheur inconditionnel et ce concept a résonné avec nous.

Il le présente comme un choix. Un choix fort simple : choisir le bonheur, inconditionnellement.

L’auteur présente ce choix comme la voie la plus simple et accessible pour entamer un éveil spirituel. Mais aussi surtout comme le meilleur moyen de s’assurer de bien profiter du temps qu’on a sur Terre!

Et bien, comment on fait ça, choisir le bonheur inconditionnel?

Simplement en décidant que dorénavant, on sera heureux, peu importe les circonstances. Ce choix impose automatiquement d’adopter une nouvelle perspective dès que la première embûche se présente. Parce qu’on le sait, elle se présentera! Afin de ne pas s’écarter de ce bonheur, consciemment choisi, il devient maintenant nécessaire de ne pas seulement réagir aux événements et de se laisser porter par la vague des émotions. On y plonge, sans faire fi de ce qu’on ressent, mais en faisant le choix conscient de voir au-delà de la circonstance. C’est de voir à quel point le bonheur peut rester présent. Celui d’être en vie, d’être aimé, d’être entouré, d’apprendre, d’avoir la parole, d’avoir un toit, d’avoir un travail, d’avoir la liberté….

Celui qui s’est défait d’une dépendance a fait ce choix. Peu importe les circonstances, retourner à la dépendance (prendre un verre, fumer, jouer pour l’argent, etc.) n’est pas une possibilité. Le choix est clair, il n’est pas à refaire tous les jours. Il suffit de s’appuyer sur celui-ci jusqu’à la prochaine envie. Simple à dire… Oh combien ardu les premiers jours et semaines, ajoute l’ex-fumeuse en Claudine!

L’auteur rappelle aussi que le but de notre existence est d’apprendre de nos expériences et d’évoluer en tant que personne. Il ajoute qu’on n’a certainement pas été mis sur terre pour souffrir. Et surtout, que l’on n’aide personne en étant misérable! Peu importe nos croyances philosophiques, les faits demeurent : nous sommes nés et nous mourrons. Tant qu’à avoir ce temps limité devant nous (et avec ce terrain de jeu aussi vaste qu’est notre Univers), il nous suggère alors de faire ce choix. Et celui-ci, c’est d’être heureux, peu importe les circonstances.

Un truc concret 

Alors, un truc concret devant un revirement de situation (qui nous éloigne de notre Plan A)? Établir un Plan B qui est aussi (sinon plus) intéressant, plaisant, exaltant!

Le Plan B permet de changer la perspective, il permet de retrouver un ancrage, de retrouver la responsabilité de son propre bonheur. Il permet de prendre du recul aussi.

Avec le choix du bonheur inconditionnel, on constate que même dans la tempête (comme dans les derniers mois de vie d’une maman), on peut choisir à chaque instant de voir la lumière au lieu de la noirceur, de voir l’amour au lieu de la perte.

Une suggestion pour voir comment le bonheur inconditionnel peut résonner dans ta réalité (c’est le test qu’on a choisi de faire). En fait, on t’invite à faire un audit de tes pensées et de tes émotions durant une semaine. Face aux circonstances de la vie, quelles sont tes réactions? Quelles sont tes actions, tes paroles et tes choix?  Qu’est-ce qui te fait dévier de ton bonheur inconditionnel? Quelles circonstances te font choisir de te tourner vers l’inquiétude, l’anxiété, la colère? En somme, pose-toi en observateur, sans juger.

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Marylène RoyFaire le choix du bonheur inconditionnel, simple ou pas? [Épisode 49]

La douleur maintenant ou la douleur plus tard? [Épisode 45]

 

On t’invite à choisir la douleur maintenant au lieu de la douleur plus tard. Qu’on l’appelle douleur ou inconfort, on parle ici des émotions négatives (colère, honte, anxiété, stress) qu’on ressent face à une situation. Le concept de “vivre la douleur maintenant au lieu de la douleur plus tard”, c’est de prendre conscience que la douleur que l’on évite sur le coup ne sera pas véritablement évitée, mais qu’elle sera simplement retardée (et sans doute déplacée/transformée entre temps).

 

Un exemple flagrant de ce concept est la sortie de Claudine et son conjoint dans un restaurant qu’on leur avait chaudement recommandé. À l’arrivée des assiettes, la pièce de viande servie était tout sauf un filet mignon et, après tergiversation et malaise, elle a été retournée en cuisine. Le délai pour cuire la seconde pièce a été tellement long que les deux assiettes (les accompagnements du filet mignon et le tartare de Claudine) avaient été entièrement dégustées et ils ont donc annulé la commande de la pièce de viande. Inconfort, malaise, serveur qui s’excuse, chef qui vient s’excuser et demande ce qui n’a pas fonctionné, s’ensuivent une série d’échanges inconfortables, mais pertinents. Et puis le chef s’assoit à la table, le resto se vide, le serveur s’ajoute, discussions animées sur la bouffe, sur les humains, sur les malaises, sur l’authenticité. L’expérience finit par une tournée du restaurant, de l’auberge, l’abonnement sur Instagram à l’entreprise de confection de bijoux de la copine du chef et des au revoir chaleureux. Alors que si rien n’avait été dit (comme ça avait déjà été le cas auparavant), un goût amer serait resté dans la bouche des deux amoureux (on ne revient plus ici, c’était mauvais et trop cher, pourquoi est-ce que ça nous est arrivé?, on ne prend plus jamais de filet mignon dans un resto, la prochaine fois on retournera l’assiette si ça arrive… etc.).

 

Quand on laisse l’inconfort être, quand on se permet de vivre la douleur maintenant, on apprend la leçon qui est devant nous et on évite la douleur plus tard. On évite aussi l’un des regrets les plus répandus auprès de mourants, qui est le fait de ne pas avoir osé (osé dire sa vérité, osé être soi-même, osé vivre la vie qu’on souhaite).

 

Ce concept, d’accepter la douleur maintenant au lieu de la retarder (parce qu’on ne l’évite pas entièrement), dans un contexte très pratique, peut s’exprimer dans le fait de “commencer avant d’être prêt”. Se permettre d’apprendre en faisant les choses, c’est accepter de plonger dans la douleur maintenant au lieu de la retarder. On finit par se rendre compte qu’on n’est jamais vraiment prêt. Jamais.

 

Dans les relations, le concept de la douleur maintenant au lieu de la douleur plus tard, s’exprime entre autres dans le feedback et les conversations authentiques. Faire un retour sur la performance d’un subordonné et donner des commentaires authentiques (bons et mauvais) qui permettront de communiquer exactement ton évaluation de la situation, c’est accepter de vivre un inconfort momentané. Et attention : un feedback qui inclut une évaluation “négative” doit être assumé et doit provenir d’attentes claires (n’impose pas tes attentes aux autres si tu n’exprimes pas clairement tes besoins! svp ne sois pas un gestionnaire passif-agressif comme il y en a tant!!). Aussi, comme l’exprime Gary Zukav dans le livre “Soul Stories” la coopération véritable nait d’une certaine friction ou d’un conflit. C’est cette situation “négative” qui permet de s’élever et de révéler le plein potentiel des humains impliqués.

 

Comme on est devenus intolérants à la douleur dans notre société, on a oublié que certains de nos plus grands apprentissages proviennent d’une situation qui a impliqué douleur ou inconfort. Comme le muscle dans l’exercice physique ou le col de l’utérus au moment des contractions, la douleur est un “passage obligé” dans laquelle il vaut la peine de plonger au lieu d’y résister.

 

Permettons-nous de vivre un inconfort dans l’optique d’apprendre de la situation, de connecter avec les humains présents et d’éviter de simplement la “pelleter vers l’avant”.

 

Fais-nous signe pour nous dire comment ça résonne dans ta vie!

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Marylène RoyLa douleur maintenant ou la douleur plus tard? [Épisode 45]

Entre l’incompétence et le génie, quelle zone préfères-tu? [Épisode 44]

Les connais-tu, toi, tes zones?

 

On le dit souvent, un échéancier c’est important dans la saine gestion d’un événement et d’une organisation. Pour nous, c’est l’un des 4 piliers de la gestion d’événements (le budget, la mission/vision et l’organigramme). Que ce soit lorsqu’on le met en place ou lorsqu’on en révise le contenu (surtout les responsabilités et les tâches), on peut rapidement constater que certains éléments qui nous incombent pourraient/devraient aller “dans la cour” de quelqu’un d’autre (ou être carrément éliminées!).

 

Donc, on propose d’explorer des outils pour identifier ce qu’on conserve.

 

Les 4 zones de Gay Hendricks (tirées de son livre “Le grand bond”)

 

  • La zone d’incompétence : Toutes les activités pour lesquelles nous ne sommes pas doués (c’est souvent l’endroit où on s’entête à économiser un peu…).

 

  • La zone de compétence : Une activité pour laquelle on est doué, mais qui pourrait très bien être faite par quelqu’un d’autre, où notre participation n’a pas de valeur ajoutée. C’est une zone où on passe normalement beaucoup trop de temps et d’énergie.

 

  • La zone d’excellence : Les activités que l’on accomplit extrêmement bien. Habituellement, on gagne notre vie dans cette zone. Selon l’auteur, “ pour les gens qui réussissent, cette zone est un piège séducteur et même dangereux parce qu’y demeurer vous empêche de faire un bond dans votre zone de génie. C’est l’endroit où vous êtes confortable et qui créera votre propre dépendance.”

 

  • La zone de génie : C’est l’ensemble des activités pour lesquelles on possède un don unique. C’est l’endroit où tu brilles, où tu vibres. C’est ce qui ne te coûte pas d’énergie (et même qui t’énergise). On peut le reconnaître avec les sensations intérieures, mais aussi par les commentaires des autres. Si c’est difficile pour toi d’identifier ce qui relève de ta zone de génie, passe voir Marie Forleo.  Elle a a du contenu exceptionnel pour t’aider à trouver ce qui te fait briller, tes talents particuliers, ton dessein.

 

Par conséquent, trouver sa zone de génie est un exercice extrêmement intéressant au point de vue personnel. Voilà pourquoi on t’invite réellement à t’y plonger si ce n’est pas déjà fait! Un épisode qui pourrait te permettre de découvrir des outils pour le faire. Épisode 10 | Des outils pour mieux se connaître.

 

Et là, tu te dis : c’est bien beau, mais…

 

Concrètement, qu’est-ce que je peux faire?

 

1- Identifier : Dans une colonne supplémentaire de l’échéancier et pour chaque tâche/responsabilité, identifie dans quelle zone tu te trouves (ça peut être très intéressant comme exercice (ou troublant, ou décourageant… selon le cas!)).

 

2- Filtrer : Crée une vue ou un filtre pour voir tout ce qui se trouve dans ta zone d’incompétence et de compétence afin de pouvoir l’identifier comme potentiellement “À déléguer”.

 

3- Éliminer : Avant de penser déléguer, fais comme en gestion des matières résiduelles (le principe des 3RV) et réduis d’abord (dans notre cas : élimine carrément la tâche si elle n’est pas nécessaire/importante/bien définie).

 

4- Déléguer : Applique le processus de délégation en 4 étapes de Theresa Loe.

 

5- Laisse-moi te le montrer : Tu exécutes la tâche, l’autre regarde, pose des questions et prend des notes.

 

6- Laisse-moi te mentorer : Tu établis les critères, tu reviens sur les étapes, tu cibles les résultats attendus.

 

7- Laisse-moi te regarder le faire : Tu regardes, sans faire de commentaires durant le processus et vous faites une rétroaction par la suite.

 

8- Laisse faire! : C’est clair : décroche!

 

À ne pas oublier

 

D’ailleurs, on parle d’actions dans l’échéancier pour éviter les termes tâches/responsabilités, justement parce que ces termes sont délicats. Quand on délègue, pour permettre à l’autre de se sentir pleinement impliqué, il faut déléguer une responsabilité et non une tâche. La tâche déléguée crée un automate. La responsabilité déléguée crée un responsable! Lorsqu’on délègue une responsabilité, on donne des outils, on demande un résultat et on offre de la liberté dans le “comment” ce sera fait.

 

Alors, laisser faire, décrocher et lâcher le contrôle, lorsqu’on délègue, permet de garantir l’adhésion de l’autre et son appropriation du résultat. C’est le meilleur moyen de créer une relation gagnant-gagnant.

 

Tu aimerais bien intégrer tout cela dans un échéancier qui fonctionne? Découvre notre échéancier performant! Il peut réellement faciliter ta vie!

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Marylène RoyEntre l’incompétence et le génie, quelle zone préfères-tu? [Épisode 44]

Nos 4 trucs infaillibles pour apprendre à apprendre [Épisode 43]

Aujourd’hui, on répond à la question : comment on fait pour consommer, intégrer, prioriser et retenir toute l’information qu’on capte et qu’on fait ricocher vers toi? (la sous-question est bien sûr : comment tu peux faire, toi, pour trouver la bonne information et l’apprendre facilement). La réponse hyper courte : en apprenant à apprendre. (C’est un héritage du formidable (et regretté) Sébastien Duchesne, merci mon cher ami).😀

Apprendre à apprendre, c’est devenu d’autant plus pertinent dans notre monde en constant mouvement. Tant de choses qui existent aujourd’hui et qui font partie de notre quotidien relevaient de la science-fiction il n’y a pas si longtemps! La technologie évolue à vitesse Grand-V et on est constamment en formation dans toutes les sphères de notre vie.

Dans notre vie de tous les jours, chez Que Des Solutions, apprendre à apprendre, ça se déploie en 4 éléments :

L’intuition : C’est la première chose qui guide vers quoi on se tourne, à quoi on s’intéresse. On est à l’écoute des synchronicités, des choses qui reviennent, des “coïncidences”. On écoute la petite voix. On applique l’adage qui dit que “quand l’élève est prêt le maître apparaît”. Plusieurs des outils, stratégies et principes qu’on utilise au quotidien nous ont été livrés “par hasard” ou “par magie”.

La curiosité : l’abonnement à des infolettres pertinentes, l’écoute de podcasts sur les sujets qui nous intéressent professionnellement, la participation à des groupes facebook et l’abonnement à des pages pertinentes Instagram/LinkedIn/Facebook sont nos façon simples de recevoir de l’information pertinente (appuyons sur le mot pertinent). Attention de ne pas être submergée d’information : si tu n’as pas lu les 4-5 derniers courriels de cette source, tu peux te désabonner (et te réabonner quand tu voudras!! c’est TA boite de courriel!!).

(Truc : allie ta curiosité à ton intuition, laisse-toi guider par les couleurs, les mots, les émotions, les impressions, les “hasards”.)

L’intention d’apprendre pour enseigner/expliquer : le fait d’avoir à vulgariser un concept et d’aborder l’apprentissage en ayant déjà l’intention de le communiquer à quelqu’un d’autre fait qu’on approche une nouvelle matière différemment. On aime bien qu’une nouvelle méthode/stratégie puisse tenir dans une page, avec quelques mots-clés, l’apprendre pour être en mesure de la transmettre en quelques minutes (au moins un survol) à une collègue et l’implanter/la tester rapidement (pour voir si, au-delà de son apparence pertinente, c’est une méthode qu’on veut garder et intégrer dans nos pratiques).

Les connexions : on s’assure d’être ouvertes aux connexions, aux adaptations de pratiques provenant d’autres domaines. Dans tout ce qu’on fait (tous), il y a des humains. Il ne faut donc pas s’étonner que les problématiques qu’on vit dans un domaine aient leur parallèle dans d’autres domaines. La solution développée sur la ligne de montage d’une usine peut être la solution qui fonctionnerait au sein de ton organisme communautaire.

Mettre son chapeau d’élève (suivre son intuition, être curieux, apprendre dans l’optique d’expliquer et faire des connexions hors de la boite), c’est aussi aborder la vie autrement. C’est se donner des occasions de dédramatiser le quotidien, en changeant la question pour passer de “pourquoi est-ce que ça m’arrive à moi?” à “qu’est-ce que je peux apprendre de cette situation?”. Aborder la vie avec la volonté d’apprendre, c’est également transformer les “obstacles”, les “erreurs” et les “conflits” en occasions d’apprendre. Et l’autre devient alors notre enseignant (sur nous-mêmes).

La question la plus puissante de notre arsenal reste toujours : qu’est-ce que cette situation peut m’apprendre? (La preuve, cette question posée par une auditrice nous a fait comprendre et mettre sur papier nos propres principes d’apprentissage!).

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Marylène RoyNos 4 trucs infaillibles pour apprendre à apprendre [Épisode 43]

Optimiser, en intégrant les cycles dans ta gestion de temps [Épisode 41]

Qu’ils soient lunaires, menstruels (t’inquiète on ne s’étend pas sur le sujet à la demande de Claudine!) ou saisonniers, les cycles sont partout dans nos vies. Ils sont à l’origine de nos vies! Récemment, Claudine a entendu Kate Northurp (de The Origin Company) présenter l’intégration des cycles dans notre quotidien comme étant la réponse à notre culture professionnelle effrénée.

À la fin de l’écoute, Claudine était, littéralement « sur le cul! ». Elle a constaté qu’elle escamotait presque systématiquement non pas une, mais bien deux des quatre (!) phases proposées… Ouch!

Les voici :

ÉMERGENCE (comme le printemps) : planifier et lancer.
VISIBILITÉ (comme l’été) : lancer, se connecter et être visible.
CULMINATION (comme l’automne) : se concentrer, compléter, analyser.
LE VIDE FERTILE (comme l’hiver) : se reposer, réfléchir et se laisser aller.

Tu peux le calquer sur le cycle menstruel (visibilité culminant avec l’ovulation et vide fertile couvrant les menstruations) ou encore avec le cycle lunaire (si tu n’as pas, plus ou jamais eu de cycle menstruel).

Tu aurais dû lire les échanges entre Marylène et Claudine suite à cette écoute/lecture et à l’intégration des principes. Renversées, ébahies, stupéfaites, il manque de mots pour décrire leur étonnement du départ et leur bien-être de la suite! Prôner l’efficacité est une chose, mais soutenir et vivre l’efficacité effrénée, qui ne respecte pas le rythme de nos vies, disons que ça a porté à réflexion.

Passe écouter l’épisode et fais-nous signe pour nous dire comment ça résonne dans ta vie!

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Marylène RoyOptimiser, en intégrant les cycles dans ta gestion de temps [Épisode 41]

La coopération, ton arme secrète pour l’année qui vient [Épisode 39]

Dans cet épisode captivant, où on parle de coopération. Ma mission cette semaine est de te montrer comment utiliser la coopération comme une arme secrète pour réussir en 2022. Ce n’est pas juste un concept abstrait ; on va creuser dans des tactiques concrètes pour l’intégrer dans ta vie professionnelle et personnelle. Cette semaine on te propose une arme secrète pour l’année qui débute : la coopération.

 

La coopération selon Gary Zukav

 

Gary Zukav, un auteur proche d’Oprah Winfrey, partage une vision unique de la coopération dans son livre Soul Stories. Il raconte notamment comment sa première rencontre avec Oprah, où il avait reporté leur collaboration une première fois, a changé sa vie. Leur projet commun a été diffusé un 24 décembre comme cadeau de Noël, propulsant son livre The Seat of the Soul au sommet des best-sellers du New York Times. Cette histoire illustre la puissance de la coopération suivie d’intuition.

 

Sa définition

 

Pour Gary Zukav, la coopération ne se limite pas à poursuivre un objectif commun comme gagner de l’argent ou élever une famille. Il s’agit de prioriser la personne avec qui on travaille plutôt que les objectifs en eux-mêmes. Quand les gens veulent être ensemble, ils trouvent toujours des choses à faire ensemble, comme les enfants pensent toujours à des jeux à jouer. Ce n’est pas juste collaborer pour atteindre un but, mais vraiment partager une affinité et s’amuser dans le processus. La coopération met de l’avant la personne/la relation au lieu de l’objectif commun.

 

Trois techniques pour intégrer la coopération dans ta vie

 

1. Poser un nouveau regard sur ceux avec qui tu collabores déjà

 

La première technique est de poser un nouveau regard sur les personnes avec qui tu dois collaborer. Que ce soit des collègues, des subalternes ou des supérieurs, aborde tes interactions comme si c’était la première fois que tu rencontrais ces personnes. Oublie les défauts et les anciens conflits pour voir au-delà des objectifs communs.

 

2. Développer une communauté d’esprit

 

La deuxième technique consiste à bâtir une communauté d’esprit avec des gens qui partagent tes affinités. Organise des rencontres régulières, que ce soit par Zoom ou en personne, avec des personnes avec qui tu as déjà eu du fun. Crée une dynamique de groupe où la coopération devient automatique et où l’énergie passe facilement, tout comme dans un jeu.

 

3. Utiliser les médias sociaux de façon proactive

 

La troisième technique implique les médias sociaux. Abonne-toi à des groupes et pages inspirantes sur Facebook, LinkedIn, Instagram, etc. Engage-toi activement en posant des questions et en répondant aux autres. Crée une dynamique d’échange où tu donnes autant que tu reçois.

 

En conclusion, l’idée de la coopération comme un jeu, où les gens passent en premier et les objectifs en second, peut transformer tes interactions et collaborations. Cette vision permet non seulement de réaliser des projets, mais aussi de construire des relations solides et plaisantes. Fais passer les gens avant tout et découvre la magie de la coopération.🌟

 

Un peu de difficulté avec la coopération? On en parle dans cet épisode : Être conciliant, oui, mais jusqu’où? | Constat #3 [Épisode 66]

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Marylène RoyLa coopération, ton arme secrète pour l’année qui vient [Épisode 39]

La parfaite imperfection [Épisode 38]

 

Accepter l’imperfection

 

En cette période où tu jongles peut-être avec du travail à domicile, l’école à la maison, et des magasins fermés le dimanche. Sans oublier la culpabilité de ne pas assez bouger ou de trop manger et boire pendant les fêtes, il est crucial de te rappeler d’être douce avec toi-même. Les derniers mois n’ont pas été tendres avec nous et on oublie trop souvent que la perfection n’est pas de ce monde. On a des attentes hyper-élevées envers nous-mêmes et on doit décrocher un peu. Il faut apprendre à vivre avec l’imperfection.

 

Prendre du recul

 

Se donner de la place pour être parfaitement imparfaits. J’avoue que je suis totalement imparfaite, et c’est important de m’en rappeler. Je dois ouvrir un large espace d’acceptation pour cette imperfection. En effet, l’imperfection est le nouveau standard. C’est normal d’avoir des doutes, des incertitudes, ou l’envie de regarder deux épisodes d’une série plutôt que de faire de la comptabilité. 😉

 

Adapter les attentes

 

Il est essentiel de ne pas se laisser submerger par des attentes irréalistes et un rythme effréné. Cela ne signifie pas qu’il faille rester en jogging ou pyjama toute la journée, mais plutôt d’accepter que parfois, cette envie est là. Et quand c’est le cas, ne te frappe pas surtout pas la tête à cause de cela. Exit la pression inutile!

 

Actions pratiques

 

Voici des actions concrètes pour t’aider à accepter et embrasser ton imperfection :

 

  1. Écoute tes envies : Si tu ressens le besoin de rester en jogging, fais-le sans culpabilité.
  2. Ouvre un espace d’acceptation : Rappelle-toi que l’incertitude et les doutes font partie de la vie.
  3. Prends du temps pour toi : Accorde-toi un moment pour faire ce que tu aimes, même si ce n’est pas productif.
  4. Évite les attentes irréalistes : Adapte tes objectifs à ta réalité et sois flexible.

 

En résumé, sois douce avec toi-même en ce début d’année. Accepte tes imperfections et adapte tes attentes à ta réalité. Accueille ce que tu ressens, et donne-toi la permission de faire ce que tu veux. Rappelle-toi que c’est beau d’être imparfaite. ❤️

 

Besoin de plus? Part à la recherche d’inspirations dans les nombreux podcasts qu’on te suggère: Inspirations | Podcasts à découvrir

Le sujet de l’imperfection te parle?😉 Découvre le livre de Brené Brown Les Cadeaux de l’imperfection

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Marylène RoyLa parfaite imperfection [Épisode 38]

C’est Noël, fais comme les enfants! [Épisode 37]

 

Se reconnecter avec notre cœur d’enfant

 

Pour cet épisode d’avant-veille de Noël 2021, on te propose de te connecter sur ton coeur d’enfant, de faire comme les enfants! On te propose de prendre tes pensées comme si c’était des enfants, d’être boqué (têtu) comme un enfant et de jouer comme un enfant.

 

1 | Accueillir tes pensées comme des enfants (surtout tes pensées stressantes)

 

Quand une pensée stressante survient, imagine-la comme un enfant qui vient s’asseoir sur tes genoux et pose-lui des questions. Pour cela, on te propose d’essayer une méthode appelée The Work, conçue par Byron Katie pour accueillir nos pensées sans les juger. La méthode repose sur quatre questions clés pour interroger nos pensées stressantes et réévaluer notre perception.

Observation des Pensées Stressantes :

  1. Est-ce que c’est vrai ?
  2. Puis-je absolument savoir que c’est vrai ?
  3. Comment je me sens quand je crois cette pensée ?
  4. Qui serais-je sans cette pensée ?

 

Exemple de Pensée Stressante

 

Si tu reçois un courriel d’une collègue et que tu penses qu’elle essaie de te manipuler, au lieu de résister à cette pensée, invite-la comme un enfant pour mieux la comprendre. Demande-toi si ce que tu perçois est vraiment la vérité ou si c’est ton interprétation.

 

2 | Être boqué comme un enfant

 

Refuse les étiquettes que d’autres veulent te coller ou que tu te colles toi-même. Par exemple, si tu te dis que tu vis avec un TDAH ou que tu procrastines, essaie de voir cette affirmation sous un nouvel angle sans l’accepter comme une vérité absolue. Adopte une attitude têtue et refuse de t’enfermer dans ces stéréotypes.

 

Exemples d’Étiquettes Courantes

 

  • Syndrome de l’imposteur : « Qui suis-je pour enseigner ceci ou cela ? »
  • Procrastination : « Je suis une procrastinatrice professionnelle. »

 

3 | Jouer comme un enfant

 

Brené Brown, dans une entrevue avec Oprah, définit le jeu comme une activité sans but précis ni objectif (without a purpose). Jouer pour le simple plaisir de jouer, sans attendre un résultat concret, est essentiel. Tsé faire quelque chose sans autre but que de le faire! Oprah a partagé qu’elle avait aménagé son lit avec des documents à lire et des projets à finaliser pour « gagner du temps ». Au final, elle n’a pas vraiment joué ni profité de son temps libre. Alors, il est absolument important de faire une activité juste pour soi-même, sans objectif caché.

 

Application Pratique

 

Pendant les fêtes, mais aussi pour toute l’année, trouve des activités que tu fais juste pour le plaisir. Voici quelques suggestions :

  • Tricoter : Non pas pour vendre sur Etsy mais juste pour toi.
  • Dessiner : Pas pour créer une œuvre d’art mais pour le plaisir de dessiner.
  • Écrire : Pas dans le but de publier un roman mais pour exprimer tes pensées librement.

 

C’est une recette magique pour décrocher et pour avoir du plaisir. Pour reconnecter avec l’enfant en toi, cet être qui est capable de croire aux miracles, de relever des défis immenses et d’aimer sans condition.

 

Pour en savoir plus sur Byron Katie, passe écouter l’épisode 13 – « Des pratiques simples pour un quotidien plus léger« .

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Marylène RoyC’est Noël, fais comme les enfants! [Épisode 37]

Notre voeu pour toi pour l’année qui vient [Épisode 36]

Décembre, c’est le temps des rétrospectives, c’est le temps des souhaits, c’est le temps des cadeaux. On a un voeu pour toi pour cette année qui va débuter prochainement, comme les bonnes fées marraines des contes, qui donnaient un coup de baguette :« la constance »

Oui, oui, que la constance soit avec toi!

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Marylène RoyNotre voeu pour toi pour l’année qui vient [Épisode 36]

Être ou paraître, là est la question! [Épisode 32]

 

Être: La question à 100$!

 

Dans cet épisode, on explore un sujet fascinant: la différence entre être et paraître. Ce qui fait qu’un événement peut marquer ses participants, quand « l’être » émerge et le « paraître » reste à la maison. Tant comme organisateur d’événement que comme participant, on peut aborder notre participation avec un but de projeter une image et de tirer un bénéfice ou avec un but de vivre quelque chose, de se présenter dans l’ouverture et l’authenticité. Une expérience récente en congrès a fait conclure à Claudine que miser sur l’être crée des opportunités immenses de connexion, qui vont au-delà des cartes d’affaires échangées.

 

Le dilemme du congrès virtuel ou en personne

 

Le retour à des congrès en personne après une longue période de réunions virtuelles a présenté un dilemme. Participer de manière virtuelle, ce qui est plus simple, ou se rendre sur place pour une immersion totale. La tentation de la facilité du virtuel – rester en sweatpants dans son sous-sol – contraste avec l’envie de participer activement. Finalement, en décidant de participer en personne, son choix d’être actrice plutôt que spectatrice de l’événement, a façonné toute son expérience du congrès.

 

Observations pendant le congrès

 

Durant les deux jours du congrès, beaucoup de participants ont ressenti quelque chose de différent. Certains trouvaient l’événement amusant, tandis que d’autres s’interrogeaient sur ce qui rendait cette édition particulière après deux ans sans congrès. Après plusieurs conversations, Claudine a réalisé que la transformation venait du fait que les participants étaient davantage dans l’être que dans le paraître.

 

Distinction entre être et paraître

 

Paraître : Quand une personne se présente comme une façade. Voici quelques caractéristiques:

      • Représentation : être une affiche pour son entreprise.
      • Objectifs cachés : analyser l’interlocuteur pour en tirer profit.
      • Superficialité : paraître professionnel tout en gardant une posture distante.

 

Être : C’est se montrer authentique et vulnérable. Voici comment cela se manifeste :

      • Authenticité : être soi-même, même avec des imperfections.
      • Disponibilité : être ouvert à partager et recevoir.
      • Absence de contrôle : ne pas arriver avec un agenda strict, mais laisser les choses émerger naturellement.

 

Bienfaits de l’authenticité

 

Le fait d’être dans l’être a rendu l’événement plus authentique et agréable. Cela a permis des connexions plus profondes et sincères avec les autres participants. Le congrès est devenu « plus humain ».

 

Conseils pratiques

 

1 | Identification des situations de paraître

  • Exemples de dichotomie : Identifier des relations ou situations où la connexion est difficile et réfléchir si cela pourrait être dû à une posture de paraître.
  • Adapter son comportement : L’idée est de tenter de se placer dans l’être pour permettre aussi à l’autre de le faire.

2 | Se préparer pour les événements en personne

Lorsque des événements en personne se profilent, il peut y avoir une appréhension. La clé est de laisser le paraître de côté :

  • Authenticité au premier plan : Se présenter telle qu’on est, sans façade.
  • Recherche de connexions significatives : Se concentrer sur les interactions humaines plutôt que sur des objectifs commerciaux stricts.

 

En conclusion, cette réflexion sur l’être et le paraître nous encourage à privilégier l’authenticité dans nos interactions professionnelles et personnelles. C’est une invitation à laisser tomber les façades et à se connecter véritablement avec les autres. Alors, la prochaine fois que tu te retrouveras dans une situation de réseautage ou de congrès, essaie de te rappeler ces principes et de voir comment ils peuvent transformer ton expérience. Souviens-toi qu’être présent authentiquement permet des expériences plus enrichissantes et des connexions plus vraies.😇

 

Apprends-en plus sur les événements qui transforment dans les épisodes Des événements qui transforment les gens, Event Design handbook / Suggestion lecture [Épisode 5] & Changer les comportements, changer les événements – avec Ruud Janssen / Entrevue [Épisode 6].

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Marylène RoyÊtre ou paraître, là est la question! [Épisode 32]

C’est pas ta faute, c’est ton cerveau [Épisode 30]

 

Quand tu essaies quelque chose de nouveau, tu ressens de la résistance? C’est pas ta faute, c’est ton cerveau! 😉

 

Cette semaine, on va plonger dans ton cerveau et comprendre pourquoi il te joue des tours quand il s’agit de prendre des risques. Prête à déjouer les pièges de ton propre esprit et à découvrir l’immense valeur que peut avoir le fait de sortir de ta zone de confort? Let’s dive in!🤿

 

Ton cerveau et le risque : une liaison complexe

 

Ton cerveau, c’est ta centrale de commande. Il a une très vieille partie, héritée de nos ancêtres, qui a comme mission principale de te protéger. Cette partie détecte les dangers et s’éloigne de l’inconnu pour assurer ta survie. C’est pourquoi, quand il s’agit d’innovation ou même simplement de changement, tu ressens souvent de la peur. Ton cerveau veut éviter ce qui est nouveau et inconfortable.

 

Pourquoi c’est normal de ressentir de la peur face aux changements?

 

  • Protection ancestrale : Depuis des centaines de milliers d’années, notre cerveau est programmé pour fuir les dangers inconnus afin de garantir notre survie.
  • Inconfort vs. Mal connu : Souvent, on préfère rester dans des situations peu satisfaisantes mais connues, plutôt que de risquer l’inconnu. L’exemple de la roche dans le soulier illustre bien cette idée : l’inconfort est moins effrayant que la possibilité de quelque chose de pire.

 

La neuroplasticité : ton arme secrète

 

Heureusement, ton cerveau a aussi une capacité incroyable : la neuroplasticité. C’est cette faculté qui lui permet de créer de nouvelles connexions lorsqu’il est confronté à de nouvelles expériences.

 

La magie des nouvelles connexions dans ton cerveau

 

  • Nouveaux chemins : Chaque fois que tu apprends quelque chose de nouveau, ton cerveau crée de nouvelles connexions. Ces connexions sont comme des nouveaux sentiers dans une forêt dense.
  • Pilotage automatique : Souvent, on fonctionne en mode automatique sans s’en rendre compte. Apprendre et essayer de nouvelles choses permet de briser ces routines et de forger de nouveaux chemins.

 

La valeur immense du risque

 

Prendre des risques peut sembler effrayant, mais c’est crucial pour ton développement personnel et professionnel.

 

Pourquoi essayer est plus important qu’exceller?

 

  • Élargir le domaine des possibles : Essayer de nouvelles choses sans la pression de réussir permet d’explorer de nouveaux horizons et d’ouvrir des portes insoupçonnées.
  • Changer avant que ça fasse mal : L’idée est de ne pas attendre que la situation devienne insupportable pour changer. Lorsque le risque de rester la même est plus grand que celui du changement, c’est souvent là que la magie opère.

 

Défi: mets-toi en danger!

 

Comment relever le défi ?

  1. Essayer quelque chose de nouveau : Que ce soit une recette compliquée, un projet professionnel, ou une nouvelle activité, lance-toi!
  2. Sortir de ta zone de confort : Exprime-toi de manière authentique, lance un projet, ou fais quelque chose qui te fait peur.
  3. Observer les résultats : Prends conscience des nouvelles connexions dans ton cerveau et de comment tu te sens après avoir pris ce risque.

 

Transformer l’inconfort en une opportunité d’apprentissage peut t’ouvrir des portes insoupçonnées. Donc, cette semaine, fais freaker ton cerveau un peu et observe les nouvelles synapses se créer. N’oublie pas, l’essentiel est d’essayer et non de réussir à tout prix. Ce processus élargit continuellement ton terrain de jeu et t’ouvre à de nouveaux possibles. Alors, es-tu prête à relever le défi? 🎉🚀

 

PSST: Besoin d’idée pour sortir de ta zone de confort tout en continuant d’avancer? Passe écouter l’épisode Entre l’incompétence et le génie, quelle zone préfères-tu? [Épisode 44] 

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Fais-le, après tout, le monde s’en câli…! [Épisode 29]

 

Le monde, le monde…

 

Lao Tseu disait : Souciez-vous de ce que pensent les autres et vous serez toujours leur prisonnier. On peut même aller plus loin. En fait, on se rend prisonnier de ce que l’on PENSE que les autres PENSENT… imagine! C’est une vie d’asservissement si on reste là… Autant en sortir non? Claudine s’est permis cette semaine de sacrer un peu (un peu?) pour te passer le message de cesser immédiatement de garder caché ce qui brille en toi, par peur de ce qu’en penseront les autres. Ils s’en foutent de toute façon! 😉

 

Le monde s’en câlisse

 

Premièrement, réalises-tu à quel point le monde se câlisse de ce que tu fais? 😮 Ça peut paraître dur à accepter, mais c’est libérateur. Si tu hésites entre le turquoise et le rose pour ton logo, fais le choix et lance-toi. Si ça ne plaît pas, tu pourras toujours changer après. La vérité, c’est que le monde ne remarque même pas parce qu’ils sont trop absorbés par leurs propres vies.

 

On est tous absorbés

 

On a tous nos responsabilités : les épiceries, les enfants, le travail, et mille autres choses. Personne n’a le temps de critiquer toutes tes décisions parce qu’ils sont débordés. Donc, arrête de te retenir par peur du jugement.

 

Laisse toute la place à ta créativité

 

Si tu as une chanson que tu veux partager, vas-y! Poste-la sur Facebook. Si tu veux demander une augmentation de salaire, fais-le! Sois authentique. Ne te retiens pas de créer ou d’exprimer tes vérités de peur de ce que les gens pourraient en penser.

 

Quand tu agis, quelque chose se passe

 

Une fois que tu te lances, il y a un déclic intérieur. C’est comme une réalisation que ce n’est pas les autres qui comptent, mais toi. Cette réalisation te renforcera et t’aidera à ignorer les jugements extérieurs.

 

Prends ta place en ce monde

 

Investis-toi là où tu le veux vraiment. Que ce soit devenir bénévole, rejoindre un conseil d’administration, ou viser un prix que tu trouves génial mais que tu penses être prétentieux de réclamer. Arrête de douter et fonce.

 

Authenticité et réaction

 

En prenant ta place et en étant toi-même, tu apprendras à te foutre de la réaction des autres. Il ne s’agit pas d’arrogance, mais de faire la paix avec une vérité essentielle : chacun est le protagoniste de sa propre vie, alors il est rare que tes actions perturbent vraiment quelqu’un.

 

En résumé, ne te retiens pas par peur des réactions des autres. Fais ce que tu veux vraiment faire, car le monde est trop absorbé par ses propres problèmes pour vraiment prêter attention. Et même si quelqu’un réagit négativement, l’authenticité et la vraie liberté viennent du fait de se câlisser de ces opinions. Fais ce que tu aimes, et tu verras que ça rendra ta vie beaucoup plus enrichissante!💗

 

Psst: Tu veux encore entendre parler d’authenticité? Écoute l’épisode La douleur maintenant ou la douleur plus tard? [Épisode 45]

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